Bien que floristiquement peu diversifiées, ces landes sont d'un réel intérêt phytocoenotique et présentent un caractère relictuel. Occupant de vaste surfaces jusque dans les années 50, elles ont pratiquement disparues, entraînant une modification radicales du paysage. Les raisons en sont l'abandon de l'élevage des moutons lainiers ainsi que la généralisation de l'emploi de la chaux pour l'amendement des terres.