cd_nom
Auteur : S. Déjean |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Auteur : A. Canard |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Alain Canard
Biodiversité et gestion des territoires
Université de Rennes 1
SPN, Av du Gal leclerc
30042 Rennes Cedex
email: alain.canard@univ-rennes1.fr
Légende : femelle, Liffré
Toute réutilisation de la présente photographie doit faire l’objet d’une demande d’autorisation auprès de l’auteur.
Lien vers le code de la propriété intellectuelle (Legifrance)
Auteur : A. Canard |
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Biodiversité et gestion des territoires
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Légende : femelle, Liffré
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Distribution mondiale
toute l'Europe
Caractères distinctifs, espèces
Taille - femelle : 10-15 mm, mâle : 8-12 mm.
La couleur est jaunâtre, le céphalothorax plus orangé et les chélicères du mâle, particulièrement développés, rougeâtres à extrémité noire. Les yeux sont de type nocturne, en deux rangées rétroversées de quatre. Le céphalothorax est dépourvu de strie thoracique. Le genre Cheiracanthium comprend quinze espèces en France. L'observation des pièces génitales est indispensable pour l'identification des espèces mais C. punctorium est la plus commune en automne.
Milieux colonisés
Milieux herbacés, pelouses, friches, landes, sous-bois.
Chasse
Elle tisse pour la journée une coque d'habitation de soie fine en hauteur dans la végétation herbacée. L'araignée la quitte pour chasser la nuit, principalement peu avant et pendant le lever du soleil. Cette chasse a lieu surtout sur la végétation des strates herbacée et arbustive.
Développement, cycle
Les adultes apparaissent en juillet, les femelles sont présentes jusqu'à l'hiver. Le cycle est annuel. On trouve plutôt en fin d'été les deux sexes, ensemble dans une coque. Puis la femelle reste seule et pond plus d'une centaine d'œufs. La femelle reste le plus souvent avec les jeunes jusqu'à l'hiver, où il n'est pas rare de la trouver ensuite morte dans la coque (son nom vient de ce comportement, Chiracanthe nourrice : C. nutrix = C. punctorium ). Lorsqu'elle est dans sa coque, et encore plus souvent lorsque les deux sexes sont ensemble, l'araignée n'hésite pas à attaquer ceux qui la dérangent : d'où quelques morsures d'imprudents dont quelques arachnologues. Le mâle qui possède de grandes chélicères, les utilise activement si on lui présente un crayon par exemple. La morsure est douloureuse pour l'homme et peut ne disparaître qu'après plusieurs jours.
A. Canard(Université de Rennes/Service du Patrimoine Naturel, MNHN),2014
continental
Métropole
Outre-mer
marin
Métropole
Outre-mer
La carte présente une synthèse à la maille 10 x 10 km des données d’observation de l’espèce transmises au SINP. Ces données ont été soumises à des filtres de validation.
La carte présente une couche de répartition de référence de l’espèce à l’échelle des départements et des secteurs marins. Les données de présence et d’absence ont été établies par expertise au sein d’un réseau de partenaires. Cette répartition de référence est utilisée dans le processus de validation des données du SINP au niveau de l’INPN.
Correspond à un signalement sur la base d'au moins une observation avérée dans une période de 10 ans (20 ans pour les invertébrés peu connus) précédant l'année de référence et aucune présomption de disparition depuis l'obtention de la dernière donnée ni doute sur le caractère reproducteur et implanté de cette population. Pour les espèces migratrices, la pr&easence indiqu&eae concerne les zones de reproduction.
Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce point recouvre l'absence, par nature plus difficile à démontrer que la présence. Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce statut doit également être attribué à un département dans lequel la présence de l'espèce est occasionnelle.
Cas particulier d'absence liée à une disparition avérée depuis moins d'un demi-siècle (les disparitions anciennes sont traitées comme « absence probable ou certaine »).
Dans l'état des connaissances, on ne peut pas se prononcer sur la présence ou l'absence actuelle dans le département. Il s'agit du statut utilisé par défaut quand on ne se situe pas dans une des catégories précédente ou dès lors qu'il y a un doute.
La carte présente la répartition mondiale de l’espèce à partir des données du GBIF (Global Biodiversity Information Facility - Système mondial d'information sur la biodiversité).