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Auteur : Q. Rome |
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Quentin Rome
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UMR7205 CNRS
Entomologie CP50 - Service Hymenoptera
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Auteur : E. Vandebeulque |
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Vandebeulque Eugène
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Jean-Jacques Milan
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Auteur : J. Thevenot |
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Jessica Thévenot
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Taille :
Longueur du corps : variable, entre 11 et 23 mm. Les reines sont généralement plus grandes.
Bombus terrestris est une espèce très proche de B. lucorum, B. magnus et B. cryptarum. La détermination fiable de ce taxon se fait au laboratoire. Elle est basée principalement sur des critères morphologiques du champ ocellaire situé sur le dessus de la tête en arrière des yeux. Chez B. terrestris, ce champ ocellaire est fortement ponctué et les ocelles sont plus grandes que chez les autres espèces.
L'espèce a deux générations par an. Au printemps, chaque colonie du Bourdon terrestre est issue d'une femelle fondatrice (reine) qui construit un nid dans le sol en utilisant des trous formés par des rongeurs ou autres mammifères. Les colonies peuvent comprendre jusqu'à 500 individus. Ces reines ont une quiescence estivale et refondent une nouvelle colonie à l'automne. Celle-ci donne naissance à des mâles et une nouvelle génération de reines qui hivernent après leur fécondation. Ces dernières sont actives au cours de la saison hivernale dans le domaine méditerranéen.
Le nid d'une colonie de Bombus terrestris est localisé dans le sol à une profondeur permettant d'éviter l'impact des gelées hivernales. La reine tapisse le nid d'herbes sèches et construit les premières cellules de cire renfermant les larves. Elle stocke le nectar et le pollen collecté dans des cellules particulières. La reine puise le nectar et le pollen stocké puis régurgite l'ensemble au moment de l'alimentation des larves. Au fur et à mesure que la colonie s'agrandie, la reine est aidée dans sa tâche par les ouvrières. Comme pour les autres espèces de bourdons, la survie des colonies est dépendante de la disponibilité florale autour du nid pendant une très grande partie de l'année. Dans le sud de la France, l'Arbousier qui fleuri en hiver semble une espèce clé pour la survie de la génération hivernale.
Bombus terrestris est une espèce que l'on rencontre dans toute la France. Cette espèce est maintenant élevée dans un but de pollinisation de certaines cultures fruitières printanières ou des cultures maraîchères sous serres.
Références bibliographiques : Rasmont (1984) ; Pouvreau (2004) ; Terzo & Rasmont (2007) ; Rasmont et al. (2008).
P. Dupont(UMS 2006 Patrimoine Naturel (AFB / CNRS / MNHN)),2014
continental
Métropole
Outre-mer
marin
Métropole
Outre-mer
La carte présente une synthèse à la maille 10 x 10 km des données d’observation de l’espèce transmises au SINP. Ces données ont été soumises à des filtres de validation.
La carte présente une couche de répartition de référence de l’espèce à l’échelle des départements et des secteurs marins. Les données de présence et d’absence ont été établies par expertise au sein d’un réseau de partenaires. Cette répartition de référence est utilisée dans le processus de validation des données du SINP au niveau de l’INPN.
Correspond à un signalement sur la base d'au moins une observation avérée dans une période de 10 ans (20 ans pour les invertébrés peu connus) précédant l'année de référence et aucune présomption de disparition depuis l'obtention de la dernière donnée ni doute sur le caractère reproducteur et implanté de cette population. Pour les espèces migratrices, la pr&easence indiqu&eae concerne les zones de reproduction.
Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce point recouvre l'absence, par nature plus difficile à démontrer que la présence. Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce statut doit également être attribué à un département dans lequel la présence de l'espèce est occasionnelle.
Cas particulier d'absence liée à une disparition avérée depuis moins d'un demi-siècle (les disparitions anciennes sont traitées comme « absence probable ou certaine »).
Dans l'état des connaissances, on ne peut pas se prononcer sur la présence ou l'absence actuelle dans le département. Il s'agit du statut utilisé par défaut quand on ne se situe pas dans une des catégories précédente ou dès lors qu'il y a un doute.
La carte présente la répartition mondiale de l’espèce à partir des données du GBIF (Global Biodiversity Information Facility - Système mondial d'information sur la biodiversité).