cd_nom
Auteur : J. Touroult |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Julien Touroult
UMS PatriNat (AFB - CNRS - MNHN)
Muséum national d'Histoire naturelle, CP41, 36 rue Geoffroy Saint-Hilaire, 75005 Paris
Légende : Puy-de-Dôme.
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Auteur : H.Bouyon |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Bouyon Hervé
herve.bouyon@wanadoo.fr
Toute réutilisation de la présente photographie doit faire l’objet d’une demande d’autorisation auprès de l’auteur.
Lien vers le code de la propriété intellectuelle (Legifrance)
Auteur : H. Bouyon |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Toute réutilisation de la présente photographie doit faire l’objet d’une demande d’autorisation auprès de l’auteur.
Lien vers le code de la propriété intellectuelle (Legifrance)
Auteur : H. Bouyon |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Toute réutilisation de la présente photographie doit faire l’objet d’une demande d’autorisation auprès de l’auteur.
Lien vers le code de la propriété intellectuelle (Legifrance)
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Julien Bonnaud
email : inpn@mnhn.fr
Toute réutilisation de la présente photographie doit faire l’objet d’une demande d’autorisation auprès de l’auteur.
Lien vers le code de la propriété intellectuelle (Legifrance)
Auteur : H. Bouyon |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Toute réutilisation de la présente photographie doit faire l’objet d’une demande d’autorisation auprès de l’auteur.
Lien vers le code de la propriété intellectuelle (Legifrance)
Auteur : H. Bouyon (ACOREP-France) / INPN |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Légende : mâle
Toute réutilisation de la présente photographie doit faire l’objet d’une demande d’autorisation auprès de l’auteur.
Lien vers le code de la propriété intellectuelle (Legifrance)
Auteur : J.P. Grèzes |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Jean-Philippe Grèzes
Toute réutilisation de la présente photographie doit faire l’objet d’une demande d’autorisation auprès de l’auteur.
Lien vers le code de la propriété intellectuelle (Legifrance)
Taille :
17-30 mm.
Diagnose :
Dessus vert métallique à doré bronzé à marges cuivreuses ou bleuâtres. Quelque fois bleu ou noir. Les quatre premiers articles des antennes sont jaunes, les autres sont obscurcis. Les pattes sont jaunes, sauf les derniers articles (et parfois les fémurs) qui sont plus foncés. Dessous noir. Corps allongé, les pattes longues, aptes à la course. Les élytres et le premier segment thoracique ne forment pas une courbe continue, les deux segments sont bien individualisés. La tête est courte et porte de solides mandibules. Le mâle se reconnaît à ses tarses (les derniers articles des pattes) antérieurs dilatés, adaptés à la préhension de la femelle lors de l'accouplement. Brachyptères, les élytres sont soudés (l'espèce est inapte au vol). La sculpture élytrale de l'espèce est variable et dépend de la sous-espèce concernée. Les sous-espèces navarricus Lapouge, 1925 et nominales (auratus Linnaeus, 1758) ont des côtes élytrales nettement saillantes ; ces côtes sont nettement émoussées chez les sous-espèces honnorati Dejean, 1825 et diensis, Tarrier, 1975. Ces côtes sont très abaissées et réduites à des bourrelets chez les sous-espèces lasserrei Doué, 1855, mourguesi (Schaeffer, 1969) et tronqueti, Peslier, 2007. Enfin, les côtes sont presque absentes chez la sous-espèce lotharingus dejean, 1825.
Facilité d'identification :
Moyennement difficile
Confusion possibles :
Seules trois autres espèces françaises présentent des côtes élytrales et une couleur verte, peuvent être confondues avec Carabus auratus Linnaeus, 1758. C. auronitens Fabricius, 1792, dont les mandibules sont plus longues et la coloration du segment thoracique visible le plus souvent rouge. C. solieri Dejean, 1826 qui est vert foncé à marges violettes et C. nitens Linnaeus, 1758, nettement plus petit (13 à 18 mm) et qui a une pointe au bout des tibias antérieurs.
Périodes d'observation :
Toute l'année. Active principalement au printemps parfois en automne. Hiverne à l'état adulte.
Biologie/Ethologie :
Cette espèce est rarement forestière, elle préfère les prairies, même humides. Elle a fortement régressé dans les cultures céréalières. Les larves comme les adultes se nourrissent essentiellement de mollusques terrestres (escargots, limaces), mais peuvent avoir un régime plus opportuniste (larves, vers…). Larves et adultes, bien qu'ayant les mêmes proies, ne mangent pas de la même façon. Les adultes ont des mandibules dotées d'une incisive coupante et dévirent les proies en les mastiquant. Les larves ont dans les mandibules un canal permettant d'injecter des enzymes qui digèrent la proie de l'intérieur. La proie ainsi liquéfiée sera ensuite aspirée par la larve à l'aide du même canal mandibulaire (digestion dite « extra-orale »).
Biogéographie :
L'espèce est connue de presque toute la France continentale, elle est toutefois absente du littoral provençal et de Corse. Elle s'est beaucoup raréfiée avec l'abandon du pâturage et la disparition des prairies, ainsi qu'avec l'utilisation massive des insecticides chimiques.
D'après : Coulon, J., Pupier, R., Queinnec, E., Ollivier, E. & Richoux, P. 2011. Coléoptères Carabidae de France: Compléments aux 2 volumes de René Jeannel. Mise à jour, corrections et répertoire. Faune de France, 94: 1-352 pp., 70 pl.
A. Horellou(UMS 2006 Patrimoine Naturel (AFB / CNRS / MNHN)),2015
continental
Métropole
Outre-mer
marin
Métropole
Outre-mer
La carte présente une synthèse à la maille 10 x 10 km des données d’observation de l’espèce transmises au SINP. Ces données ont été soumises à des filtres de validation.
La carte présente une couche de répartition de référence de l’espèce à l’échelle des départements et des secteurs marins. Les données de présence et d’absence ont été établies par expertise au sein d’un réseau de partenaires. Cette répartition de référence est utilisée dans le processus de validation des données du SINP au niveau de l’INPN.
Correspond à un signalement sur la base d'au moins une observation avérée dans une période de 10 ans (20 ans pour les invertébrés peu connus) précédant l'année de référence et aucune présomption de disparition depuis l'obtention de la dernière donnée ni doute sur le caractère reproducteur et implanté de cette population. Pour les espèces migratrices, la pr&easence indiqu&eae concerne les zones de reproduction.
Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce point recouvre l'absence, par nature plus difficile à démontrer que la présence. Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce statut doit également être attribué à un département dans lequel la présence de l'espèce est occasionnelle.
Cas particulier d'absence liée à une disparition avérée depuis moins d'un demi-siècle (les disparitions anciennes sont traitées comme « absence probable ou certaine »).
Dans l'état des connaissances, on ne peut pas se prononcer sur la présence ou l'absence actuelle dans le département. Il s'agit du statut utilisé par défaut quand on ne se situe pas dans une des catégories précédente ou dès lors qu'il y a un doute.
La carte présente la répartition mondiale de l’espèce à partir des données du GBIF (Global Biodiversity Information Facility - Système mondial d'information sur la biodiversité).