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Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter : Thomas Menut Fondation d'entreprise Biotope tmenut@biotope.fr
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Gnatholepis thompsoni Jordan, 1904
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Auteur : J. Mailles
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Gnatholepis thompsoni Jordan, 1904
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Auteur : T Menut, Fondation Biotope
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Diagnose : Forme allongée et à section cylindrique typique de la famille. Tête à front busquée, à large bouche infère (positionnée vers le bas) ; les yeux sont posés sur le front et apparaissent très globuleux. Un grand trait noir très distinct les traverse et descend verticalement jusque sous la gorge. Des lignes de petits points brun orangé à noir ornent les flancs, les 2 nageoires dorsales et la caudale. Des taches plus importantes (5 à 6) sont parfois visibles sous la ligne latérale.
Détermination : Moyennement difficile.
Espèces proches : Seules 2 espèces du genre Ctenogobius, C. saepepallens et C. stigmaturus possèdent à la fois une robe claire et surtout un trait vertical traversant l'œil. Néanmoins, ce trait reste court et d'autres critères permettent de les distinguer avec de bonnes photos.
Période d'observation : Toute l'année.
Biologie-éthologie : Espèce parfois abondante à l'état juvénile, posée sur les sables à moyenne profondeur (10-20 m). Peut aussi se positionner sur les coraux, près des anémones ou des oursins. Les adultes sont farouches et assez difficiles à approcher à moins d'1 mètre. Ils se réfugient rapidement vers leur trou aménagé sous un débris de corail, ou un caillou.
Biogéographie et écologie : Poisson très largement réparti dans les Caraïbes et en Amérique du Sud jusqu'au nord du Brésil. Également la côte tropicale d'Afrique de l'Ouest et les îles atlantiques. Fonds détritiques, bords des cayes et petits îlots sableux entre les roches, entre 5 et 90 m de profondeur. Espèce commune dans les Antilles.
D'après : R. Robertson and J. Van Tassell. 2019. Shorefishes of the Greater Caribbean : online information system. Version 2.0 Smithsonian Tropical Research Institute, Balboa, Panamá.
La carte présente une synthèse à la maille 10 x 10 km des données d’observation de l’espèce transmises au SINP. Ces données ont été soumises à des filtres de validation.
La carte présente la répartition mondiale de l’espèce à partir des données du GBIF (Global Biodiversity Information Facility - Système mondial d'information sur la biodiversité).