cd_nom
Auteur : F. Chevaillot |
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Fred CHEVAILLOT
Moulin de Castor
La Maynobe
12550 COUPIAC
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09 88 28 31 26
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Auteur : H. Bouyon |
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Hervé BOUYON
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Taille : 7 – 9 mm
Diagnose :Petite punaise jaune verdâtre à brune avec les pattes jaunes à vertes. Les bords de son abdomen (connexivum) sont bicolores alternativement noir et jaune. Une tache noire est souvent présente sur toute la moitié antérieure du scutellum. Les angles huméraux du pronotum plus larges que l'abdomen ne forment pas de pointes acérées. Les antennes sont claires (sauf le dernier article) et la face ventrale n'est pas ponctuée de noir. Les épines aux angles antérieurs du pronotum sont absentes ou d'une taille inférieure au diamètre de l'œil.
Détermination : Moyennement difficile.
Espèces proches :Cette espèce est proche d'Elasmucha fieberi. On la distingue par la couleur des antennes, entièrement noires chez cette espèce qui possède des petites épines derrière les yeux, aussi grandes que le diamètre de l'œil. D'autre part, la face ventrale d'E. grisea n'est pas ponctuée de noir.
Période d'observation : Avril à novembre avec deux pics en juin et septembre.
Biologie-éthologie :Espèce arboricole vivant principalement sur le bouleau, l'aulne, le noisetier, et d'autres arbres dont le charme, le chêne pédonculé, le hêtre, le peuplier, des saules.
Comme les autres Elasmucha, la femelle protège ses œufs contre les prédateurs et les parasites en restant immobile en permanence sur sa ponte comme si elle la couvait. Elle protège ensuite ses larves de la même façon au moins jusqu'au 3e stade.
Biogéographie et écologie :Espèce eurosibérienne commune dans son biotope, présente jusqu'à 64° de latitude nord. À l'est, on la rencontre jusqu'à l'océan Pacifique en Sibérie. Elle est plus rare dans l'aire méditerranéenne. On la rencontre dans les lisières forestières humides, les bords de rivières, clairières, landes claires et dans les jardins.
Roland Lupoli (),2019
continental
Métropole
Outre-mer
marin
Métropole
Outre-mer
La carte présente une synthèse à la maille 10 x 10 km des données d’observation de l’espèce transmises au SINP. Ces données ont été soumises à des filtres de validation.
La carte présente une couche de répartition de référence de l’espèce à l’échelle des départements et des secteurs marins. Les données de présence et d’absence ont été établies par expertise au sein d’un réseau de partenaires. Cette répartition de référence est utilisée dans le processus de validation des données du SINP au niveau de l’INPN.
Correspond à un signalement sur la base d'au moins une observation avérée dans une période de 10 ans (20 ans pour les invertébrés peu connus) précédant l'année de référence et aucune présomption de disparition depuis l'obtention de la dernière donnée ni doute sur le caractère reproducteur et implanté de cette population. Pour les espèces migratrices, la pr&easence indiqu&eae concerne les zones de reproduction.
Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce point recouvre l'absence, par nature plus difficile à démontrer que la présence. Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce statut doit également être attribué à un département dans lequel la présence de l'espèce est occasionnelle.
Cas particulier d'absence liée à une disparition avérée depuis moins d'un demi-siècle (les disparitions anciennes sont traitées comme « absence probable ou certaine »).
Dans l'état des connaissances, on ne peut pas se prononcer sur la présence ou l'absence actuelle dans le département. Il s'agit du statut utilisé par défaut quand on ne se situe pas dans une des catégories précédente ou dès lors qu'il y a un doute.
La carte présente la répartition mondiale de l’espèce à partir des données du GBIF (Global Biodiversity Information Facility - Système mondial d'information sur la biodiversité).