Merci pour votre contribution à l’amélioration de l’INPN. Nous avons transmis ces informations à un expert pour vérification et correction.
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Sébastien SIBLET c/o Jean-Philippe SIBLET Muséum national d'Histoire naturelle - Service du Patrimoine Naturel 36 rue Geoffroy Saint-Hilaire CP 41 75 231 PARIS CEDEX 05 e-mail : inpn@mnhn.fr
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Calidris mauri (Cabanis, 1857)
Aucun vote
Auteur : S. Wroza
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Calidris mauri (Cabanis, 1857)
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Longueur totale du corps : environ 17 cm, envergure de 28 à 37cm. Poids : de 25 à 42 g.
Diagnose
Le dessus du bécasseau d'Alaska est gris et uni, avec des marques rousses peu nettes ou inapparentes. Le dessous est blanc avec la poitrine légèrement striée de brun. Les pattes sont fines et noires et ont une palmure partielle. Il existe un très léger dimorphisme sexuel : les femelles ont le bec légèrement plus long. Les juvéniles ont les épaules bien plus rousses que les adultes.
Détermination
Simple au niveau spécifique.
Espèces proches
Il est difficile de le différencier de C. pusilla notamment lorsqu'ils ont le plumage inter nuptial qui apparait plus tardivement chez le bécasseau d'Alaska.
Période d'observation
Migrateur, le passage et assez commun aux Antilles notamment en Guadeloupe lors de sa migration vers l'Amérique du Sud entre septembre et mars surtout.
Biologie – éthologie
Il vit principalement dans les prairies de type toundra, dans les milieux marins comme les zones côtières (estuaires, estran, rives de sable, plages, vasières). On peut aussi le retrouver sur le littoral et étage supra littoral comme par exemple au niveau des eaux saumâtres, marais salants, lacs marins, lacs eau douce côtiers Le Bécasseau d'Alaska trottine rapidement sur les vasières. Il forme de grands groupes sur les reposoirs.
Biogéographie et écologie
On le retrouve dans toutes l'Amérique et les îles aux alentours ainsi qu'une grande partie de l'Asie. Toutefois, il n'est peu voire pas présent en Europe et sur le continent Africain.
Sources Taylor D. 2006. Guide des limicoles d'Europe, d'Asie et d'Amérique du Nord. Delachaux & Niestlé, Paris, 224 p.
La carte présente une synthèse à la maille 10 x 10 km des données d’observation de l’espèce transmises au SINP. Ces données ont été soumises à des filtres de validation.
Carte de répartition issue du programme Atlas de la Biodiversité Départementale et des Secteurs Marins
Répartition actuelle en France métropolitaine
La carte présente une couche de répartition de référence de l’espèce à l’échelle des départements et des secteurs marins. Les données de présence et d’absence ont été établies par expertise au sein d’un réseau de partenaires. Cette répartition de référence est utilisée dans le processus de validation des données du SINP au niveau de l’INPN.
Carte de répartition issue du programme Atlas de la Biodiversité Départementale et des Secteurs Marins
Présence certaine
Correspond à un signalement sur la base d'au moins une observation avérée dans une période de 10 ans (20 ans pour les invertébrés peu connus) précédant l'année de référence et aucune présomption de disparition depuis l'obtention de la dernière donnée ni doute sur le caractère reproducteur et implanté de cette population. Pour les espèces migratrices, la pr&easence indiqu&eae concerne les zones de reproduction.
Présence probable
Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
une recherche de l'espèce incomplète mais présence de milieux favorables ;
une écologie de l'espèce compatible avec l'hypothèse de sa présence ;
une dernière observation fiable remontant à plus de 10 ans par rapport à la date de référence, aucune recherche spécifique récente et aucune présomption de disparition depuis cette date [vertébrés, plantes et invertébrés bien étudiés (rhopalocères, orthoptères, odonates...)] ;
une dernière observation fiable remontant à plus de 20 ans, aucune recherche spécifique récente et aucune présomption de disparition depuis cette date [taxons peu connus : fonge, nombreux invertébrés...].
Absence probable ou certaine
Ce point recouvre l'absence, par nature plus difficile à démontrer que la présence. Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
une recherche ciblée intensive mais infructueuse ;
l'absence de milieux adéquats ;
une espèce non observée alors que sa présence est facile à détecter ;
une présence peu vraisemblable pour des raisons historiques ou biogéographiques.
Ce statut doit également être attribué à un département dans lequel la présence de l'espèce est occasionnelle.
Absence liée à une disparition avérée
Cas particulier d'absence liée à une disparition avérée depuis moins d'un demi-siècle (les disparitions anciennes sont traitées comme « absence probable ou certaine »).
Pas d'informations
Dans l'état des connaissances, on ne peut pas se prononcer sur la présence ou l'absence actuelle dans le département. Il s'agit du statut utilisé par défaut quand on ne se situe pas dans une des catégories précédente ou dès lors qu'il y a un doute.
La carte présente la répartition mondiale de l’espèce à partir des données du GBIF (Global Biodiversity Information Facility - Système mondial d'information sur la biodiversité).