In continuing your browsing of this site, you accept the use of cookies to offer you suitable content and services and realize visits statistics.Learn more about cookies.
Diagnose : Petit poisson à forme classique, peu allongé et aux nageoires bien développées. Œil très gros, gueule assez fendue. Robe rosâtre à brun translucide. Sur les flancs et les joues, chaque écaille est ponctuée d’un point sombre. Le pédoncule caudal est quant à lui porteur d’une grande tache noirâtre. Les nageoires sont transparentes mais les rayons soulignés par une fine moucheture.
Détermination : Délicate.
Espèces proches : 2 autres espèces de Phaeoptyx sont présentes dans cette région biogéographique : P. xenus et P. conklini. Celles-ci possèdent plusieurs points sombres par écaille, et P. conklini n’a que des petites dents régulières, au contraire de P. pigmentaria.
Période d’observation : Toute l’année.
Biologie-éthologie : Espèce à activité nocturne, mais décelable de jour dans les secteurs très calmes et quasiment obscurs des grottes et cavités. De nuit, il est visible sur le sable, près des roches, voire en pleine eau à plusieurs mètres du fond. Il nage par à-coup, est peu farouche, et constitue une proie idéale pour la Rascasse lion (Pterois volitans) introduite dans les Caraïbes.
Biogéographie et écologie : Répartition atlantique (Est et Ouest) dans les eaux chaudes : toutes les Caraïbes, le Golfe du Mexique, la côte Est de l’Amérique du Sud, mais aussi les îles tropicales et les côtes africaines jusqu’au Gabon. Poisson assez commun dans les Antilles françaises, dans les environnements rocheux.
D'après : R. Robertson and J. Van Tassell. 2019. Shorefishes of the Greater Caribbean : online information system. Version 2.0 Smithsonian Tropical Research Institute, Balboa, Panamá.
The map presents a summary at the 10 x 10 km grid of the observation data for the species transmitted to the SINP. These data have been subjected to validation filters.