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Auteur : J. Lecomte |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Jean Lecomte, c/o M. Pierre NoëlSPN et Département Milieux et Peuplements AquatiquesMuséum national d'Histoire naturelle43 rue BuffonCP 48, F-75231 Paris cedex 05pierre.noel [at] mnhn.fr
Légende : Vue dorsale d'un lambrus de Maltzam, femelle ovigère, au large de Banyuls-sur-mer, Pyrénées-orientales, profondeur -95 m, 6 mai 1976.
Toute réutilisation de la présente photographie doit faire l’objet d’une demande d’autorisation auprès de l’auteur.
Lien vers le code de la propriété intellectuelle (Legifrance)
Auteur : J. Lecomte |
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Jean Lecomte, c/o M. Pierre NoëlSPN et Département Milieux et Peuplements AquatiquesMuséum national d'Histoire naturelle43 rue BuffonCP 48, F-75231 Paris cedex 05pierre.noel [at] mnhn.fr
Légende : Vue ventrale d'un lambrus de Maltzam, femelle ovigère, au large de Banyuls-sur-mer, Pyrénées-orientales, profondeur -95 m, 6 mai 1976.
Toute réutilisation de la présente photographie doit faire l’objet d’une demande d’autorisation auprès de l’auteur.
Lien vers le code de la propriété intellectuelle (Legifrance)
Auteur : J. Lecomte |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Jean Lecomte, c/o M. Pierre NoëlSPN et Département Milieux et Peuplements AquatiquesMuséum national d'Histoire naturelle43 rue BuffonCP 48, F-75231 Paris cedex 05pierre.noel [at] mnhn.fr
Légende : Vue dorsale d'un lambrus de Maltzam, femelle, au large de Banyuls-sur-mer, Pyrénées-orientales, profondeur -95 m, 6 mai 1976.
Toute réutilisation de la présente photographie doit faire l’objet d’une demande d’autorisation auprès de l’auteur.
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Morphologie : La carapace du lambrus de Malzam est triangulaire, étendue latéralement, recouvrant partiellement les pattes. Ses marges antéro-latérales sont crénelées et denticulées. Le rostre est triangulaire avec des marges latérales légèrement dentées. Les orbites sont petites et étroites. La carène est tuberculée, en forme de V dans la région gastrique et oblique dans la région branchiale. La région cardiaque est saillante et pointue. Les chélipèdes sont très robustes, longs et inégaux, leurs crêtes sont découpées en dents granuleuses irrégulières, aiguës ou obtuses. Les mérus et propodes ont des marges externes et internes pourvues d'épines tuberculées de différentes tailles. Les péréiopodes II à V sont courts et grêles, comprimés latéralement et inermes. D. maltzami atteint la dimension de 16 x 18 mm. Sa couleur possède une tonalité d'un blanc rosé.
Biologie : Les femelles peuvent être ovigères toute l'année. La biologie de cette espèce est mal connue.
Ecologie & distribution : D. maltzami est une espèce infralittorale, circalittorale et bathyale qui vit sur les fonds de sable fin faiblement vaseux, les fonds de sable avec graviers coquillier et les fonds d'algues calcaires, entre 100 et 900 m de profondeur. Elle est commune en Atlantique oriental du golfe de Gascogne jusqu'à l'Angola et rare en Méditerranée occidentale, dans l'Adriatique, la mer Egée et la mer Ionienne.
Interactions avec les activités humaines : Cette espèce est trop petite pour faire l'objet de prises de pêches.
Franck Coudray et Pierre Noël(UMS 2006 Patrimoine Naturel (AFB / CNRS / MNHN)),2012
continental
Métropole
Outre-mer
marin
Métropole
Outre-mer
La carte présente une synthèse à la maille 10 x 10 km des données d’observation de l’espèce transmises au SINP. Ces données ont été soumises à des filtres de validation.
La carte présente une couche de répartition de référence de l’espèce à l’échelle des départements et des secteurs marins. Les données de présence et d’absence ont été établies par expertise au sein d’un réseau de partenaires. Cette répartition de référence est utilisée dans le processus de validation des données du SINP au niveau de l’INPN.
Correspond à un signalement sur la base d'au moins une observation avérée dans une période de 10 ans (20 ans pour les invertébrés peu connus) précédant l'année de référence et aucune présomption de disparition depuis l'obtention de la dernière donnée ni doute sur le caractère reproducteur et implanté de cette population. Pour les espèces migratrices, la pr&easence indiqu&eae concerne les zones de reproduction.
Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce point recouvre l'absence, par nature plus difficile à démontrer que la présence. Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce statut doit également être attribué à un département dans lequel la présence de l'espèce est occasionnelle.
Cas particulier d'absence liée à une disparition avérée depuis moins d'un demi-siècle (les disparitions anciennes sont traitées comme « absence probable ou certaine »).
Dans l'état des connaissances, on ne peut pas se prononcer sur la présence ou l'absence actuelle dans le département. Il s'agit du statut utilisé par défaut quand on ne se situe pas dans une des catégories précédente ou dès lors qu'il y a un doute.
La carte présente la répartition mondiale de l’espèce à partir des données du GBIF (Global Biodiversity Information Facility - Système mondial d'information sur la biodiversité).