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Auteur : R. Clerc |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Roland Clerc
Photographe naturaliste
http://www.faune-valais.ch/
email : inpn@mnhn.fr
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Auteur : R. Clerc |
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Auteur : N. Boulain |
Toute réutilisation de la présente photographie doit faire l’objet d’une demande d’autorisation auprès de l’auteur.
Lien vers le code de la propriété intellectuelle (Legifrance)
Auteur : N. Boulain |
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Auteur : S. Wroza |
Légende : Lynx boréal dans son milieu naturel dans le Jura
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Longueur : 80-130 cm plus 11 à 25 cm de queue. Hauteur au garrot : 60-75 cm. Poids : 18-25 kg. Dents (28-32): I3/3, C1/1, P2-3/2, M1/1.D'allure féline, le Lynx a une petite tête arrondie portant des favoris (long poils bordant la face). Les oreilles sont grandes et pourvues de pinceaux de poils noirs caractéristiques de ce genre. Les yeux sont jaunes. La queue est relativement courte et se fini par un manchon noir. Les pattes, digitigrades, sont puissantes et larges. Le pelage varie du jaune roux au beige gris et est plus ou moins tacheté de noir suivant les individus. Les tâches sont plus facilement visibles sur les pattes que sur le dos. Le pelage du ventre est plus clair. De grandes variabilités du pelage existent entre individus.
Seule espèce de Lynx en France, il ne peut se confondre avec aucune autre espèce. L'autre espèce qui lui ressemble, le Lynx pardelle Lynx pardinus, n'est présente qu'en Espagne.Nocturne et crépusculaire, il passe ses journées dans une cavité rocheuse, une souche, un buisson et chasse la nuit… Solitaire, les mâles et femelles se rencontrent lors du rut. La maturité sexuelle est atteinte vers 2 ans pour les femelles et 3 ans pour les mâles. L'accouplement a lieu de février à avril. La femelle met bas dans un gîte en mai-juin après 70 jours de gestation. Le nombre de petits par portée varie de 1 à 4. Le sevrage débute au bout de 2 mois et demi. Les jeunes s'émancipent vers 10 mois et partent à la recherche de leur territoire. Ils peuvent vivre jusqu'à 10-20 ans.Spécialiste des ongulés, le chevreuil et le chamois sont ses proies de prédilection. Il consomme également des jeunes cerfs, sangliers, rongeurs et autres petits mammifères. Il chasse en s'approchant au plus près de sa proie pour pouvoir la capturer par surprise.Forestier, il s'adapte à tous types de peuplement (résineux, feuillus, mixtes). Il se retrouve aujourd'hui principalement dans les forêts de montagne. Son territoire compte de nombreux abris de repos ainsi que des tanières pour la femelle. Le domaine vital d'un mâle empiète souvent sur celui d'une ou plusieurs femelles.Référence : STAHL P. & VANDEL J.-M. 1992. Le Lynx boréal (Lynx lynx Linné 1758). Société française d'Etude et de Protection des Mammifères (SFEPM). Encyclopédie des carnivores de France, n°19. 65p.
Audrey Savouré-Soubelet(UMS 2006 Patrimoine Naturel (AFB / CNRS / MNHN)),2014
continental
Métropole
Outre-mer
marin
Métropole
Outre-mer
La carte présente une synthèse à la maille 10 x 10 km des données d’observation de l’espèce transmises au SINP. Ces données ont été soumises à des filtres de validation.
La carte présente une couche de répartition de référence de l’espèce à l’échelle des départements et des secteurs marins. Les données de présence et d’absence ont été établies par expertise au sein d’un réseau de partenaires. Cette répartition de référence est utilisée dans le processus de validation des données du SINP au niveau de l’INPN.
Correspond à un signalement sur la base d'au moins une observation avérée dans une période de 10 ans (20 ans pour les invertébrés peu connus) précédant l'année de référence et aucune présomption de disparition depuis l'obtention de la dernière donnée ni doute sur le caractère reproducteur et implanté de cette population. Pour les espèces migratrices, la pr&easence indiqu&eae concerne les zones de reproduction.
Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce point recouvre l'absence, par nature plus difficile à démontrer que la présence. Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce statut doit également être attribué à un département dans lequel la présence de l'espèce est occasionnelle.
Cas particulier d'absence liée à une disparition avérée depuis moins d'un demi-siècle (les disparitions anciennes sont traitées comme « absence probable ou certaine »).
Dans l'état des connaissances, on ne peut pas se prononcer sur la présence ou l'absence actuelle dans le département. Il s'agit du statut utilisé par défaut quand on ne se situe pas dans une des catégories précédente ou dès lors qu'il y a un doute.
La carte présente la répartition mondiale de l’espèce à partir des données du GBIF (Global Biodiversity Information Facility - Système mondial d'information sur la biodiversité).