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Auteur : H. Bouyon |
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Hervé BOUYON
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Auteur : Cochard Pierre-Olivier |
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Auteur : Cochard Pierre-Olivier |
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Taille : 7,5 – 12 mm
Diagnose :
Petite punaise globalement vert pâle. Partie membraneuse des ailes transparente. Bords des cories (exocories) de la même couleur que le reste de la corie. Articles antennaires III, IV et V, verts ou sombres mais peu contrastés par rapport aux I et II. Bord antérieur du scutellum sans points noirs ni taches blanches, mais avec 2 petites taches blanches face à face sur les bords de l'extrémité du scutellum. Abdomen vert visible à travers la membrane.
Détermination : Moyennement difficile.
Espèces proches :
L'absence d'une grande tache claire sur l'apex du scutellum permet de la distinguer des punaises vertes des genres Brachynema et Chlorochroa. L'absence de points noirs aux angles antéro-latéraux du scutellum la distingue de Nezara et la ponctuation homogène des cories, de Piezodorus. Les Palomena ont une membrane foncée. Elle se distingue d'Acrosternum heegeri par l'apex de ses antennes peu contrasté, une tête plus courte et une plus petite taille.
Période d'observation :
Avril à décembre.
Biologie-éthologie :
Elle pique les fruits et baies d'arbres, arbustes et lianes à baies méditerranéens : cyprès, genévriers, chênes, pistachiers, camélée, lierres, salsepareille, nerpruns, arbousiers. Elle occasionne des dégâts aux cultures de pistaches en Iran. Elle est attirée par la lumière en été et devient brunâtre en hiver.
Biogéographie et écologie :
Espèce méditerranéenne peu commune, répandue dans le bassin méditerranéen, le Moyen-Orient, l'Afrique du Nord et tropicale. Elle vit dans les milieux chauds et secs : garrigues et maquis, friches rudérales, coteaux et pelouses rocailleuses.
Roland Lupoli (),2020
continental
Métropole
Outre-mer
marin
Métropole
Outre-mer
La carte présente une synthèse à la maille 10 x 10 km des données d’observation de l’espèce transmises au SINP. Ces données ont été soumises à des filtres de validation.
La carte présente une couche de répartition de référence de l’espèce à l’échelle des départements et des secteurs marins. Les données de présence et d’absence ont été établies par expertise au sein d’un réseau de partenaires. Cette répartition de référence est utilisée dans le processus de validation des données du SINP au niveau de l’INPN.
Correspond à un signalement sur la base d'au moins une observation avérée dans une période de 10 ans (20 ans pour les invertébrés peu connus) précédant l'année de référence et aucune présomption de disparition depuis l'obtention de la dernière donnée ni doute sur le caractère reproducteur et implanté de cette population. Pour les espèces migratrices, la pr&easence indiqu&eae concerne les zones de reproduction.
Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce point recouvre l'absence, par nature plus difficile à démontrer que la présence. Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce statut doit également être attribué à un département dans lequel la présence de l'espèce est occasionnelle.
Cas particulier d'absence liée à une disparition avérée depuis moins d'un demi-siècle (les disparitions anciennes sont traitées comme « absence probable ou certaine »).
Dans l'état des connaissances, on ne peut pas se prononcer sur la présence ou l'absence actuelle dans le département. Il s'agit du statut utilisé par défaut quand on ne se situe pas dans une des catégories précédente ou dès lors qu'il y a un doute.
La carte présente la répartition mondiale de l’espèce à partir des données du GBIF (Global Biodiversity Information Facility - Système mondial d'information sur la biodiversité).