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Auteur : A. LEVEQUE |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Antoine Lévêque
E-mail : antoine.leveque@mnhn.fr
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Auteur : Cochard Pierre-Olivier |
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Auteur : Cochard Pierre-Olivier |
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Auteur : xileha |
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xileha
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Observation partagée via l'application INPN Espèces
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Auteur : A. LEVEQUE |
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Taille : 5 – 7,5 mm
Diagnose :
Petite punaise de coloration générale noire à reflets métalliques, bariolée de taches claires rouges ou orange. Corie (partie sclérifiée de l'aile antérieure) dont la partie centrale (mésocorie) porte au moins 2 grandes taches claires, et dont la partie externe latérale (exocorie) est entièrement claire sans tache noire. Scutellum avec une tache claire principale en forme de Y.
Détermination : Simple.
Espèces proches :
Au sein du genre Eurydema, cette espèce se reconnaît à l'absence de tache noire sur l'exocorie, à ses hémélytres luisants et à sa petite taille.
Période d'observation :
Avril à septembre.
Biologie-éthologie :
Elle se nourrit sur plusieurs crucifères dont principalement les arabettes, les cardamines et les rorripes.
Biogéographie et écologie :
Espèce paléarctique présente dans le sud de la Grande-Bretagne et de la Scandinavie jusqu'à 60° de latitude nord. Elle atteint l'Inde, la Corée et le Japon vers l'est, et la limite septentrionale du domaine méditerranéen vers le sud. Elle est répandue dans les plaines du nord et de l'est soumises au climat continental. Elle évite les zones montagneuses et les façades maritimes de la Méditerranée, de l'Atlantique, de la Manche et de la mer du Nord. On la rencontre principalement dans les milieux humides des secteurs continentaux : prairies humides tempérées, marais, tourbières, landes à bruyères, lisières forestières, parcs, et parfois, plus au nord, sur pelouses calcicoles ensoleillées. C'est une espèce relativement rare, dont la densité est toujours faible.
Roland Lupoli (),2020
continental
Métropole
Outre-mer
marin
Métropole
Outre-mer
La carte présente une synthèse à la maille 10 x 10 km des données d’observation de l’espèce transmises au SINP. Ces données ont été soumises à des filtres de validation.
La carte présente une couche de répartition de référence de l’espèce à l’échelle des départements et des secteurs marins. Les données de présence et d’absence ont été établies par expertise au sein d’un réseau de partenaires. Cette répartition de référence est utilisée dans le processus de validation des données du SINP au niveau de l’INPN.
Correspond à un signalement sur la base d'au moins une observation avérée dans une période de 10 ans (20 ans pour les invertébrés peu connus) précédant l'année de référence et aucune présomption de disparition depuis l'obtention de la dernière donnée ni doute sur le caractère reproducteur et implanté de cette population. Pour les espèces migratrices, la pr&easence indiqu&eae concerne les zones de reproduction.
Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce point recouvre l'absence, par nature plus difficile à démontrer que la présence. Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce statut doit également être attribué à un département dans lequel la présence de l'espèce est occasionnelle.
Cas particulier d'absence liée à une disparition avérée depuis moins d'un demi-siècle (les disparitions anciennes sont traitées comme « absence probable ou certaine »).
Dans l'état des connaissances, on ne peut pas se prononcer sur la présence ou l'absence actuelle dans le département. Il s'agit du statut utilisé par défaut quand on ne se situe pas dans une des catégories précédente ou dès lors qu'il y a un doute.
La carte présente la répartition mondiale de l’espèce à partir des données du GBIF (Global Biodiversity Information Facility - Système mondial d'information sur la biodiversité).