cd_nom
Auteur : F. Chevaillot |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Fred CHEVAILLOT
Moulin de Castor
La Maynobe
12550 COUPIAC
06 51 19 18 32
09 88 28 31 26
www.insecte.org
email : fred.chevaillot@wanadoo.fr
Toute réutilisation de la présente photographie doit faire l’objet d’une demande d’autorisation auprès de l’auteur.
Lien vers le code de la propriété intellectuelle (Legifrance)
Auteur : J. Touroult |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Julien Touroult
UMS PatriNat AFB - CNRS - MNHN
Muséum national d'Histoire naturelle, CP41, 36 rue Geoffroy Saint-Hilaire, 75005 Paris
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Auteur : H. Bouyon (ACOREP-France) / INPN |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Toute réutilisation de la présente photographie doit faire l’objet d’une demande d’autorisation auprès de l’auteur.
Lien vers le code de la propriété intellectuelle (Legifrance)
Auteur : J. ICHTER |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
inpn@mnhn.fr
Toute réutilisation de la présente photographie doit faire l’objet d’une demande d’autorisation auprès de l’auteur.
Lien vers le code de la propriété intellectuelle (Legifrance)
Taille : 7 – 11 mm.
Diagnose :Petite punaise en losange géométrique, avec la tête, le pronotum et le scutellum verts et les ailes antérieures (cories) avec des motifs en chevrons de couleur marron-rose caractéristiques. Le premier article de ses antennes ne dépasse pas le bord de sa tête.
Détermination : Simple
Espèces proches :C'est la seule espèce d'Acanthosomatidae qui possède des motifs en chevrons de couleur marron-rose sur les cories avec le premier article antennaire ne dépassant pas le bord de la tête. C'est également la seule espèce de cette famille à être associée spécifiquement aux genévriers et certains cyprès.
Période d'observation : Mars à octobre mais parfois aussi observée pendant l'hiver.
Biologie-éthologie :Cette espèce pique pour se nourrir les baies de plusieurs espèces de genévriers. Elle fréquente donc beaucoup plus les arbres à baies femelles que les arbres mâles sans baie. Depuis les années 2000, on l'observe aussi sur les cyprès ornementaux et les thuyas introduits dans les jardins. On la trouve parfois aussi sur les pins. Ses motifs cryptiques de couleur lui assurent un camouflage disruptif étonnant et très efficace dans le feuillage épineux d'un genévrier.
Biogéographie et écologie :C'est une espèce ouest paléarctique qui ne dépasse pas l'Ouzbékistan à l'est et qui atteint 60° de latitude nord en Suède. Elle apprécie les milieux ouverts relativement secs, les landes où poussent des genévriers isolés et bien exposés au soleil. Elle est assez commune dans ces biotopes et les genévriers qui portent des baies mûres violettes sont les plus propices à son développement et peuvent regrouper des dizaines d'individus sur un même arbre.
Roland Lupoli (),2019
continental
Métropole
Outre-mer
marin
Métropole
Outre-mer
La carte présente une synthèse à la maille 10 x 10 km des données d’observation de l’espèce transmises au SINP. Ces données ont été soumises à des filtres de validation.
La carte présente une couche de répartition de référence de l’espèce à l’échelle des départements et des secteurs marins. Les données de présence et d’absence ont été établies par expertise au sein d’un réseau de partenaires. Cette répartition de référence est utilisée dans le processus de validation des données du SINP au niveau de l’INPN.
Correspond à un signalement sur la base d'au moins une observation avérée dans une période de 10 ans (20 ans pour les invertébrés peu connus) précédant l'année de référence et aucune présomption de disparition depuis l'obtention de la dernière donnée ni doute sur le caractère reproducteur et implanté de cette population. Pour les espèces migratrices, la pr&easence indiqu&eae concerne les zones de reproduction.
Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce point recouvre l'absence, par nature plus difficile à démontrer que la présence. Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce statut doit également être attribué à un département dans lequel la présence de l'espèce est occasionnelle.
Cas particulier d'absence liée à une disparition avérée depuis moins d'un demi-siècle (les disparitions anciennes sont traitées comme « absence probable ou certaine »).
Dans l'état des connaissances, on ne peut pas se prononcer sur la présence ou l'absence actuelle dans le département. Il s'agit du statut utilisé par défaut quand on ne se situe pas dans une des catégories précédente ou dès lors qu'il y a un doute.
La carte présente la répartition mondiale de l’espèce à partir des données du GBIF (Global Biodiversity Information Facility - Système mondial d'information sur la biodiversité).