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Auteur : C. Quintin |
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Christophe Quintin
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Auteur : J. Touroult |
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Auteur : N. Tobak |
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Auteur : R. Baghi |
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Taille : 5 – 7,5 mm
Diagnose :
Petite punaise de coloration générale bleu-vert foncé à reflets métalliques, bariolée de taches claires rouges, orange ou blanches. Corie (partie sclérifiée de l'aile antérieure) dont la partie centrale (mésocorie) porte une seule tache claire. Pronotum entouré par un liseré clair, avec une ligne médiane claire formant 2 fenêtres sombres
Détermination : Simple.
Espèces proches :
Malgré des variations importantes de ses couleurs et de la forme de ses taches (30 formes connues), cette espèce globalement verte avec une seule tache sur les mésocories, est l'une des plus faciles à identifier dans le genre Eurydema.
Période d'observation :
Mars à novembre, avec 2 pics importants en mai et août.
Biologie-éthologie :
Elle s'alimente sur les fruits d'une cinquantaine de genres de crucifères. Son régime alimentaire a bien été étudié en raison des dégâts qu'elle peut causer aux cultures de choux. Elle est aussi parfois rencontrée ponctuellement sur des graminées et des Asteracées.
Biogéographie et écologie :
Espèce eurosibérienne présente dans le sud de la Grande-Bretagne, elle remonte au nord jusqu'en Suède à 65° de latitude nord et à l'est jusqu'en Chine et dans toute la Sibérie. Elle est également présente en Afrique du Nord. Elle peut atteindre localement 2 100 m d'altitude et vit dans une large gamme d'habitats : cultures de choux et autres crucifères comestibles (navet, moutarde, colza), friches et prairies fleuries, landes et lisières forestières, bords des chemins, pelouses rases, dunes, marais, bords de rivière boisés, terrains vagues, parcs et jardins. C'est une espèce très commune avec des densités parfois localement importantes, notamment dans les cultures de crucifères.
Roland Lupoli (),2020
continental
Métropole
Outre-mer
marin
Métropole
Outre-mer
La carte présente une synthèse à la maille 10 x 10 km des données d’observation de l’espèce transmises au SINP. Ces données ont été soumises à des filtres de validation.
La carte présente une couche de répartition de référence de l’espèce à l’échelle des départements et des secteurs marins. Les données de présence et d’absence ont été établies par expertise au sein d’un réseau de partenaires. Cette répartition de référence est utilisée dans le processus de validation des données du SINP au niveau de l’INPN.
Correspond à un signalement sur la base d'au moins une observation avérée dans une période de 10 ans (20 ans pour les invertébrés peu connus) précédant l'année de référence et aucune présomption de disparition depuis l'obtention de la dernière donnée ni doute sur le caractère reproducteur et implanté de cette population. Pour les espèces migratrices, la pr&easence indiqu&eae concerne les zones de reproduction.
Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce point recouvre l'absence, par nature plus difficile à démontrer que la présence. Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce statut doit également être attribué à un département dans lequel la présence de l'espèce est occasionnelle.
Cas particulier d'absence liée à une disparition avérée depuis moins d'un demi-siècle (les disparitions anciennes sont traitées comme « absence probable ou certaine »).
Dans l'état des connaissances, on ne peut pas se prononcer sur la présence ou l'absence actuelle dans le département. Il s'agit du statut utilisé par défaut quand on ne se situe pas dans une des catégories précédente ou dès lors qu'il y a un doute.
La carte présente la répartition mondiale de l’espèce à partir des données du GBIF (Global Biodiversity Information Facility - Système mondial d'information sur la biodiversité).