cd_nom
Auteur : R. Clerc |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Roland Clerc
Photographe naturaliste
http://www.faune-valais.ch/index.php?page=accueil
email : inpn@mnhn.fr
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Auteur : R. Clerc |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Roland Clerc
Photographe naturaliste
http://www.faune-valais.ch/index.php?page=accueil
email : inpn@mnhn.fr
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Auteur : R. Clerc |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Roland Clerc
Photographe naturaliste
http://www.faune-valais.ch/index.php?page=accueil
email : inpn@mnhn.fr
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Auteur : P. Gourdain |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Philippe Gourdain
Muséum national d'Histoire naturelle - Service du Patrimoine Naturel
36 rue Geoffroy Saint-Hilaire
CP 41
75 231 PARIS CEDEX 05
e-mail : inpn@mnhn.fr
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Auteur : R. Clerc |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Roland Clerc
Photographe naturaliste
http://www.faune-valais.ch/index.php?page=accueil
email : inpn@mnhn.fr
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Auteur : R. Clerc |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Roland Clerc
Photographe naturaliste
http://www.faune-valais.ch/index.php?page=accueil
email : inpn@mnhn.fr
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Longueur 75-88 cm, envergure 2,05-2,20 m, poids moyen 2,8-4,6 kg pour le mâle, 3,8-6,7 kg pour la femelle.
Il vit dans les grands espaces ouverts, parfois les zones humides mais le plus souvent les zones montagneuses, loin des activités humaines. L’absence de spécialisation alimentaire (et de forte compétition interspécifique) et sa capacité à chasser sur de grandes distances lui permettent de survivre même avec une densité et une biomasse de proies relativement faibles.
L’Aigle royal se nourrit principalement de mammifères et d’oiseaux vivants ou morts, parfois aussi de reptiles et même de poissons et d’insectes. Il chasse habituellement d’un vol bas, parcourant méthodiquement le terrain et capturant ses proies par surprise. La plupart sont prises au sol mais un oiseau dérangé, un Lagopède par exemple, peut être poursuivi sur quelque distance. L’éventail de proies est très large : les mammifères vont du petit rongeur jusqu’aux Cervidés, tandis que les oiseaux vont de l’Alouette jusqu’à l’Oie ou la Grue. Ses préférences vont toutefois vers les animaux pesant entre 0,5 et 2 kg. Les proies les plus grosses ne sont consommées qu’à l’état de cadavre ou si elles sont affaiblies, et sont notamment attaquées par des individus spécialisés ou inexpérimentés. Il arrive que le couple chasse de concert, le premier oiseau pouvant ainsi disperser les groupes familiaux d’Ongulés et le second, suivant à une centaine de mètres, se concentrant alors sur un jeune isolé.
Les jeunes aigles se dispersent parfois sur de grandes distances, mais les adultes restent sur leur territoire. Même en hiver, ils gardent le contact avec leur site de nid, à moins que la famine ou les conditions météorologiques ne les forcent à s’éloigner. Les oiseaux solitaires, jeunes ou adultes, sont généralement erratiques mais certains s’établissent sur un territoire, parfois même inclus dans celui d’un couple nicheur. L’Aigle royal est monogame et les couples sont fidèles. Ils sont territoriaux et les aires des différents couples sont largement séparées (au moins 4 km et en général 10 à 20 km). Les parades aériennes sont peu fréquentes ; elles comprennent des plongées vertigineuses depuis de grandes hauteurs, suivies de remontées en chandelle.
La ponte de 1 à 3 œufs est déposée à partir de février-mars. L’aire est construite sur une paroi rocheuse ou un arbre. C’est un énorme assemblage de branchettes, couvert d’herbes, de laine et de feuillage. Les plus gros atteignent plusieurs mètres d’épaisseur. L’incubation dure 43-45 jours et les jeunes s’envolent à l’âge de 65-80 jours. En général, seul le 1er aiglon éclos survit, car il cause la mort des autres jeunes, plus petits. Il est chassé par ses parents entre septembre et novembre.
Spanneut, L.(Ecosphère, Service du Patrimoine Naturel.),2008
continental
Métropole
Outre-mer
marin
Métropole
Outre-mer
La carte présente une synthèse à la maille 10 x 10 km des données d’observation de l’espèce transmises au SINP. Ces données ont été soumises à des filtres de validation.
La carte présente une couche de répartition de référence de l’espèce à l’échelle des départements et des secteurs marins. Les données de présence et d’absence ont été établies par expertise au sein d’un réseau de partenaires. Cette répartition de référence est utilisée dans le processus de validation des données du SINP au niveau de l’INPN.
Correspond à un signalement sur la base d'au moins une observation avérée dans une période de 10 ans (20 ans pour les invertébrés peu connus) précédant l'année de référence et aucune présomption de disparition depuis l'obtention de la dernière donnée ni doute sur le caractère reproducteur et implanté de cette population. Pour les espèces migratrices, la pr&easence indiqu&eae concerne les zones de reproduction.
Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce point recouvre l'absence, par nature plus difficile à démontrer que la présence. Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce statut doit également être attribué à un département dans lequel la présence de l'espèce est occasionnelle.
Cas particulier d'absence liée à une disparition avérée depuis moins d'un demi-siècle (les disparitions anciennes sont traitées comme « absence probable ou certaine »).
Dans l'état des connaissances, on ne peut pas se prononcer sur la présence ou l'absence actuelle dans le département. Il s'agit du statut utilisé par défaut quand on ne se situe pas dans une des catégories précédente ou dès lors qu'il y a un doute.
La carte présente la répartition mondiale de l’espèce à partir des données du GBIF (Global Biodiversity Information Facility - Système mondial d'information sur la biodiversité).