cd_nom
Auteur : J-J. Tilly |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Jean-Jacques Tilly
Association française d'Arachnologie
http://asfra.fr/Site/Main_public.html
email : inpn@mnhn.fr
Toute réutilisation de la présente photographie doit faire l’objet d’une demande d’autorisation auprès de l’auteur.
Lien vers le code de la propriété intellectuelle (Legifrance)
Auteur : J-J. Tilly |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Jean-Jacques Tilly
Association Française d'Arachnologie (ASFRA)
inpn@mnhn.fr
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Auteur : J-J. Tilly |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Jean-Jacques Tilly
Association Française d'Arachnologie (ASFRA)
inpn@mnhn.fr
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Distribution mondiale
Europe excepté au Nord, Bassin méditerranéen
Caractères distinctifs, espèces
Taille - femelle : 3-5 mm, mâle : 2-4 mm.
Cette petite espèce présente une couleur assez typique avec un céphalothorax clair finement bordé de noir, à bande médiane noire, poursuivie sur l'abdomen par une bande médiane sombre, aux bords dentelés, bien nette à l'avant, s'atténuant souvent dès le milieu de l'abdomen. Ses pattes sont claires, annelées de noir. Il n'y a qu'une seule espèce dans le genre Kochiura et deux espèces dans le genre proche Anelosimus. Les détails de la coloration et les pièces génitales permettent de distinguer ces trois espèces.
Milieux colonisés
L'espèce colonise la végétation basse et arbustive des prairies, jardins, landes (ajoncs, bruyères), garrigues (cistes, bruyères), maquis, plus rarement sur les branches basses des arbres.
Chasse
Ce Théridion tisse des fils qui paraissent éparses sur les extrémités de rameaux de divers végétaux robustes. L'araignée se tient au milieu de cet enchevêtrement, dans un repaire aménagé. Les proies sont interceptées par les fils externes qui sont partiellement collants et l'araignée, avertie par le réseau de fils, intervient rapidement pour mordre sa victime. Les proies sont souvent des insectes assez coriacés (coléoptères, fourmis). On voit leurs dépouilles accumulées près de la retraite.
Développement, cycle
Les mâles sont présents en juin et juillet, les femelles de juin à septembre. Le cycle est généralement annuel en France, mais il y aurait deux cycles par an dans le Sud de la France (juillet à avril et mai à juillet).
La femelle pond, dans sa toile, plusieurs cocons (jusqu'à 4 ou 5). Ils comprennent une vingtaine d'œufs et sont entourés de soie verdâtre, la taille de chacun excédant celle de la femelle.
A. Canard(Université de Rennes/Service du Patrimoine Naturel, MNHN),2014
continental
Métropole
Outre-mer
marin
Métropole
Outre-mer
La carte présente une synthèse à la maille 10 x 10 km des données d’observation de l’espèce transmises au SINP. Ces données ont été soumises à des filtres de validation.
La carte présente une couche de répartition de référence de l’espèce à l’échelle des départements et des secteurs marins. Les données de présence et d’absence ont été établies par expertise au sein d’un réseau de partenaires. Cette répartition de référence est utilisée dans le processus de validation des données du SINP au niveau de l’INPN.
Correspond à un signalement sur la base d'au moins une observation avérée dans une période de 10 ans (20 ans pour les invertébrés peu connus) précédant l'année de référence et aucune présomption de disparition depuis l'obtention de la dernière donnée ni doute sur le caractère reproducteur et implanté de cette population. Pour les espèces migratrices, la pr&easence indiqu&eae concerne les zones de reproduction.
Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce point recouvre l'absence, par nature plus difficile à démontrer que la présence. Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce statut doit également être attribué à un département dans lequel la présence de l'espèce est occasionnelle.
Cas particulier d'absence liée à une disparition avérée depuis moins d'un demi-siècle (les disparitions anciennes sont traitées comme « absence probable ou certaine »).
Dans l'état des connaissances, on ne peut pas se prononcer sur la présence ou l'absence actuelle dans le département. Il s'agit du statut utilisé par défaut quand on ne se situe pas dans une des catégories précédente ou dès lors qu'il y a un doute.
La carte présente la répartition mondiale de l’espèce à partir des données du GBIF (Global Biodiversity Information Facility - Système mondial d'information sur la biodiversité).