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Auteur : O. Coutant |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Olivier Coutant
Association française d'Arachnologie
http://asfra.fr/Site/Main_public.html
email : inpn@mnhn.fr
Toute réutilisation de la présente photographie doit faire l’objet d’une demande d’autorisation auprès de l’auteur.
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Auteur : C. Quintin |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Christophe Quintin
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Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Auteur : J-J. Tilly |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Jean-Jacques Tilly
Association française d'Arachnologie
http://asfra.fr/Site/Main_public.html
email : inpn@mnhn.fr
Toute réutilisation de la présente photographie doit faire l’objet d’une demande d’autorisation auprès de l’auteur.
Lien vers le code de la propriété intellectuelle (Legifrance)
Auteur : O. Roquinarc'h |
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Océane ROQUINARC'H,
UMS Patrimoine Naturel
Muséum national d'Histoire naturelle,
4 Avenue du Petit Château, 91800 BRUNOY
mail : oceane.roquinarch@mnhn.fr
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Distribution mondiale
Europe occidentale, Afrique du Nord
Caractères distinctifs, espèces
Taille - femelle : 4-6 mm, mâle : 4-7 mm.
Cette araignée possède des pattes assez fines, son corps est brun-rougeâtre, avec le céphalothorax plus foncé. Les six yeux de son groupe oculaire sont accolés, en cercle. Il y a une dizaine d'espèces d'Harpactea en France, H. hombergi se distingue par ses pattes bicolores claires avec des fémurs, tibias et basitarses partiellement assombris. Les deux sexes sont de taille semblable, l'abdomen du mâle est plus cylindrique. L'observation du bulbe du mâle est plus certaine pour l'identification de l'espèce, la vulva de la femelle peut être vue par transparence sous le tégument, mais l'identification est plus délicate par ce moyen. Pour identifier les femelles, la spinulation des pattes est employée.
Milieux colonisés
Elle colonise des milieux souvent secs, au sol mais aussi parfois assez haut dans la végétation (troncs), en prairies ouvertes ou fermées, en landes, forêts, voire dans les habitations. On la découvre le jour sous des écorces, des pierres, dans la litière, ...
Chasse
Elle se construit une loge tubulaire de soie blanche épaisse pour sa période d'inactivité. La nuit, elle se déplace rapidement au sol, sur les branches ou les troncs. Elle y capture les insectes qu'elle rencontre.
Développement, cycle
Les adultes sont présents toute l'année, mais sont plus nombreux au printemps. Le cycle semble annuel. La femelle pond une vingtaine à une trentaine d'œufs roses dans sa retraite cocon qu'elle garde avec elle sans avoir tissé de cocon.
A. Canard(Université de Rennes/Service du Patrimoine Naturel, MNHN),2014
continental
Métropole
Outre-mer
marin
Métropole
Outre-mer
La carte présente une synthèse à la maille 10 x 10 km des données d’observation de l’espèce transmises au SINP. Ces données ont été soumises à des filtres de validation.
La carte présente une couche de répartition de référence de l’espèce à l’échelle des départements et des secteurs marins. Les données de présence et d’absence ont été établies par expertise au sein d’un réseau de partenaires. Cette répartition de référence est utilisée dans le processus de validation des données du SINP au niveau de l’INPN.
Correspond à un signalement sur la base d'au moins une observation avérée dans une période de 10 ans (20 ans pour les invertébrés peu connus) précédant l'année de référence et aucune présomption de disparition depuis l'obtention de la dernière donnée ni doute sur le caractère reproducteur et implanté de cette population. Pour les espèces migratrices, la pr&easence indiqu&eae concerne les zones de reproduction.
Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce point recouvre l'absence, par nature plus difficile à démontrer que la présence. Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce statut doit également être attribué à un département dans lequel la présence de l'espèce est occasionnelle.
Cas particulier d'absence liée à une disparition avérée depuis moins d'un demi-siècle (les disparitions anciennes sont traitées comme « absence probable ou certaine »).
Dans l'état des connaissances, on ne peut pas se prononcer sur la présence ou l'absence actuelle dans le département. Il s'agit du statut utilisé par défaut quand on ne se situe pas dans une des catégories précédente ou dès lors qu'il y a un doute.
La carte présente la répartition mondiale de l’espèce à partir des données du GBIF (Global Biodiversity Information Facility - Système mondial d'information sur la biodiversité).