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| Auteur : F. Chevaillot |
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Fred CHEVAILLOT
Moulin de Castor
La Maynobe
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06 51 19 18 32
09 88 28 31 26
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| Auteur : H.Bouyon |
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Bouyon Hervé
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| Auteur : A. Artero |
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Taille : 8-9 mm.
Diagnose :
Corps allongé, convexe, la face supérieure entièrement microsculptée, d'aspect soyeux, à ponctuation ombiliquée fine et très dense, les élytres à stries très fines. Le mâle a l'avant-corps noir avec les élytres brun foncé. La femelle est brun-rouge avec trois bandes longitudinales, deux latérales et une médiane, noires sur le pronotum. Les antennes courtes et fortement dentées à partir du 4ème article dépassent à peine le milieu du pronotum. Les angles postérieurs du pronotum sont fortement carénés. Les antennes sont noires avec les deux premiers articles rouges chez la femelle, les pattes sont rougeâtres.
La larve est filiforme et cylindrique (de type "ver fil-de-fer"), jaune orangée avec la tête et le dernier segment plus colorés.
Identification : Très difficile.
Confusions possibles :
Sericus sulcipennis, d'aspect proche a les stries élytrales plus fortes et une coloration bicolore, avant-corps noir et élytres rougeâtres, constante, sans dimorphisme sexuel.
Périodes d'observation (adultes) : Avril à juillet.
Biologie-éthologie :
La larve est terricole. Les adultes se rencontrent sur les arbres, surtout les pins et particulièrement lorsqu'ils sont en fleurs.
Biogéographie-écologie :
Forêts de plaine et de montagne d'Europe centrale et d'Asie tempérée.
Références :
Leseigneur L., 1972. Coléoptères Elateridae de la faune de France continentale et de Corse. Bulletin mensuel de la Société Linnéenne de Lyon (supplément au numéro de février 1972) 41 : 1-381.
Leseigneur L. & Piguet H., 2011. Sericus sulcipennis Buysson, 1893 (S. brunneus var. sulcipennis Buysson), espèce valide, synonyme de Sericus clarus Gurjeva, 1972, nouvelle pour la faune de France (Coleoptera Elateridae). L'Entomologiste 67(2) : 61-66.
Hervé Bouyon(),2020
continental
Métropole
Outre-mer
marin
Métropole
Outre-mer
La carte présente une synthèse à la maille 10 x 10 km des données d’observation de l’espèce transmises au SINP. Ces données ont été soumises à des filtres de validation.
La carte présente une couche de répartition de référence de l’espèce à l’échelle des départements et des secteurs marins. Les données de présence et d’absence ont été établies par expertise au sein d’un réseau de partenaires. Cette répartition de référence est utilisée dans le processus de validation des données du SINP au niveau de l’INPN.
Correspond à un signalement sur la base d'au moins une observation avérée dans une période de 10 ans (20 ans pour les invertébrés peu connus) précédant l'année de référence et aucune présomption de disparition depuis l'obtention de la dernière donnée ni doute sur le caractère reproducteur et implanté de cette population. Pour les espèces migratrices, la pr&easence indiqu&eae concerne les zones de reproduction.
Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce point recouvre l'absence, par nature plus difficile à démontrer que la présence. Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce statut doit également être attribué à un département dans lequel la présence de l'espèce est occasionnelle.
Cas particulier d'absence liée à une disparition avérée depuis moins d'un demi-siècle (les disparitions anciennes sont traitées comme « absence probable ou certaine »).
Dans l'état des connaissances, on ne peut pas se prononcer sur la présence ou l'absence actuelle dans le département. Il s'agit du statut utilisé par défaut quand on ne se situe pas dans une des catégories précédente ou dès lors qu'il y a un doute.
La carte présente la répartition mondiale de l’espèce à partir des données du GBIF (Global Biodiversity Information Facility - Système mondial d'information sur la biodiversité).
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