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Auteur : Cochard Pierre-Olivier |
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Auteur : H. Bouyon |
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Auteur : anonyme 20899 |
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Observation partagée via l'application INPN Espèces
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Taille : 4,5 – 6,2 mm
Diagnose :
Petite punaise grisâtre à brunâtre, qui a le clypéus (nez) libre et non enclos par les jugas (joues). Elle a les bords latéraux antérieurs du pronotum légèrement convexes et ses angles huméraux non saillants, le ventre entièrement jaunâtre ; les angles antérieurs du scutellum avec 2 grandes taches blanches (calus) rondes ; l'extrémité du scutellum avec une tache noire marquée ; les articles antennaires IV et V jaunâtre à rougeâtre mais non noir ; les zones claires du connexivum à ponctuation proche de la couleur du fond.
Détermination : Moyennement difficile.
Espèces proches :
Se distingue des autres petites punaises par ses 2 grandes taches blanches rondes aux angles antérieurs du scutellum et de Stagonomus amoenus dont la face dorsale est rouge bordeaux foncé. S. bipunctatus pusillus a une coloration plus rose, l'extrémité de son scutellum a juste une trace noire et non une tache noire marquée, et les zones claires de son connexivum ont une ponctuation brune ou noire contrastant avec la couleur de fond. Ces 2 sous-espèces ne sont jamais rencontrées ensemble.
Période d'observation :
Mai à octobre, avec deux pics équivalents en juin et août.
Biologie-éthologie :
Elle vit surtout sur les labiées : ivettes, germandrées, bugles, thyms, et aussi sur les verveines, molènes, scrofulaires, véroniques, mufliers. Les individus se cachent souvent dans les corolles de ces plantes.
Biogéographie et écologie :
Elle vit dans l'aire méditerranéenne et dans quelques sites dans le sud-ouest et montagnards au sud. Elle est absente de la zone océanique. Elle vit le plus souvent sur sols calcaires ou sableux, dans les milieux chauds et secs : garrigues, friches, bord des chemins, prairies sèches, pelouses steppiques, et elle est assez commune.
Roland Lupoli (),2020
continental
Métropole
Outre-mer
marin
Métropole
Outre-mer
La carte présente une synthèse à la maille 10 x 10 km des données d’observation de l’espèce transmises au SINP. Ces données ont été soumises à des filtres de validation.
La carte présente une couche de répartition de référence de l’espèce à l’échelle des départements et des secteurs marins. Les données de présence et d’absence ont été établies par expertise au sein d’un réseau de partenaires. Cette répartition de référence est utilisée dans le processus de validation des données du SINP au niveau de l’INPN.
Correspond à un signalement sur la base d'au moins une observation avérée dans une période de 10 ans (20 ans pour les invertébrés peu connus) précédant l'année de référence et aucune présomption de disparition depuis l'obtention de la dernière donnée ni doute sur le caractère reproducteur et implanté de cette population. Pour les espèces migratrices, la pr&easence indiqu&eae concerne les zones de reproduction.
Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce point recouvre l'absence, par nature plus difficile à démontrer que la présence. Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce statut doit également être attribué à un département dans lequel la présence de l'espèce est occasionnelle.
Cas particulier d'absence liée à une disparition avérée depuis moins d'un demi-siècle (les disparitions anciennes sont traitées comme « absence probable ou certaine »).
Dans l'état des connaissances, on ne peut pas se prononcer sur la présence ou l'absence actuelle dans le département. Il s'agit du statut utilisé par défaut quand on ne se situe pas dans une des catégories précédente ou dès lors qu'il y a un doute.
La carte présente la répartition mondiale de l’espèce à partir des données du GBIF (Global Biodiversity Information Facility - Système mondial d'information sur la biodiversité).