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Auteur : J.P. Siblet |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Jean-Philippe SIBLET
Muséum national d'Histoire naturelle - Service du Patrimoine Naturel
36 rue Geoffroy Saint-Hilaire
CP 41
75 231 PARIS CEDEX 05
e-mail : inpn@mnhn.fr
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
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Jean-Philippe SIBLET
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Légende : Tréchy - 18/07/2007
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Auteur : S. Wroza |
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Wroza Stanislas
Muséum national d'Histoire naturelle - PatriNat
36 rue Geoffroy Saint-Hilaire CP 41
75 231 PARIS CEDEX 05
e-mail : s.wroza@hotmail.fr
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Wroza Stanislas
Muséum national d'Histoire naturelle - PatriNat
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75 231 PARIS CEDEX 05
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Longueur 52-60 cm, envergure 135-150 cm, poids 360-1 050 g.
Elle habite surtout les grands massifs pourvus de clairières et de coupes, sur des sols légers et secs qui facilitent le creusement. On la trouve également dans les mosaïques de bosquets, de zones humides et de prairies. Elle niche dans de grands arbres, en particulier les hêtres, chênes et pins. Moins aérienne que la plupart des autres rapaces diurnes, elle est adaptée au vol lent sous les houppiers et à la marche sur les sols forestiers.
La Bondrée se nourrit des nids, larves, pupes et adultes d’hyménoptères sociaux (guêpes, frelons, bourdons). Surtout au printemps, elle complète par d’autres insectes, des amphibiens, reptiles, micromammifères, poussins et œufs d’oiseaux, plus rarement des araignées, vers et fruits. La proie peut être localisée depuis une perche, mais elle suit le plus souvent les insectes en vol jusqu’à leur nid. Elle creuse jusqu’à 40 cm de profondeur pour sortir les nids d’hyménoptères. Les guêpes sont prises avec le bec, tenues par le thorax et l’aiguillon est extrait avant l’ingestion. Elle chasse parfois à pied – des distances de 500 m sont rapportées – pour prendre des insectes terrestres et des petits vertébrés. Les adaptations morphologiques aux proies et aux modes de chasses comprennent des plumes petites, serrées et en forme d’écailles sur la face (pour diminuer les possibilités de piqûre), des pattes solides avec des écailles épaisses et des ongles peu courbés d’égale longueur (pour la marche et le creusement), et des narines en forme de fente (pour limiter l’intrusion de terre quand elle creuse).
Au dortoir et durant la migration, les Bondrées sont fortement grégaires (jusqu’à plusieurs milliers ensemble). Le reste du temps, l’espèce est solitaire ou par couple. Leur formation a lieu avant ou après l’arrivée sur les sites de reproduction. Ils occupent de larges territoires (environ 10 km2) qui se chevauchent fréquemment avec ceux d’autres couples. La Bondrée arrivant tardivement au printemps, les meilleurs sites sont bien souvent occupés par l’Autour des palombes et la Buse variable, avec lesquels elle entre en compétition. Les manœuvres d’hostilité sont exécutées dans un large rayon autour de l’aire choisie : jusqu’à 1 500 m pour des Bondrées concurrentes et 300 à 500 m pour d’autres espèces de rapaces diurnes. L’aire est située sur une branche (ou à la fourche) d’un gros arbre. Elle est faite en partie de branchettes fraîches pourvues de feuilles, qui sont rajoutées régulièrement au long de la saison, si bien que l’ensemble ressemble à une masse de verdure. La plupart du temps, un nouveau nid est fait chaque année. La ponte unique de 2 œufs est déposée à partir de mai. L’incubation dure environ 35 jours et les jeunes sont volants à l’âge de 40-44 jours. Au contraire de nombreux rapaces, le mâle s’occupe des jeunes et les nourrit à l’aire, même en présence de la femelle.
Spanneut, L.(Ecosphère, Service du Patrimoine Naturel.),2008
continental
Métropole
Outre-mer
marin
Métropole
Outre-mer
La carte présente une synthèse à la maille 10 x 10 km des données d’observation de l’espèce transmises au SINP. Ces données ont été soumises à des filtres de validation.
La carte présente une couche de répartition de référence de l’espèce à l’échelle des départements et des secteurs marins. Les données de présence et d’absence ont été établies par expertise au sein d’un réseau de partenaires. Cette répartition de référence est utilisée dans le processus de validation des données du SINP au niveau de l’INPN.
Correspond à un signalement sur la base d'au moins une observation avérée dans une période de 10 ans (20 ans pour les invertébrés peu connus) précédant l'année de référence et aucune présomption de disparition depuis l'obtention de la dernière donnée ni doute sur le caractère reproducteur et implanté de cette population. Pour les espèces migratrices, la pr&easence indiqu&eae concerne les zones de reproduction.
Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce point recouvre l'absence, par nature plus difficile à démontrer que la présence. Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce statut doit également être attribué à un département dans lequel la présence de l'espèce est occasionnelle.
Cas particulier d'absence liée à une disparition avérée depuis moins d'un demi-siècle (les disparitions anciennes sont traitées comme « absence probable ou certaine »).
Dans l'état des connaissances, on ne peut pas se prononcer sur la présence ou l'absence actuelle dans le département. Il s'agit du statut utilisé par défaut quand on ne se situe pas dans une des catégories précédente ou dès lors qu'il y a un doute.
La carte présente la répartition mondiale de l’espèce à partir des données du GBIF (Global Biodiversity Information Facility - Système mondial d'information sur la biodiversité).