cd_nom
Auteur : S. Wroza |
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Auteur : J.P. Siblet |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Jean-Philippe SIBLET
Muséum national d'Histoire naturelle - Service du Patrimoine Naturel
36 rue Geoffroy Saint-Hilaire
CP 41
75 231 PARIS CEDEX 05
e-mail : inpn@mnhn.fr
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Auteur : S. Wroza |
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Auteur : R. Poncet |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Rémy Poncet
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Auteur : S. Wroza |
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Auteur : O. Delzons |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Olivier DELZONS
Muséum national d'Histoire naturelle - Service du Patrimoine Naturel
Chargé de mission Biodiversité - Convention Sita
4 avenue du petit château
91 800 BRUNOY
e-mail : delzons@mnhn.fr
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Auteur : C. Bisch |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Claude Bisch
email : inpn@mnhn.fr
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Auteur : J. LAIGNEL |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Julien Laignel
Chargé de mission SNB - SPN/MNHN
4, avenue du Petit Château
91800 BRUNOY
Tel.: 06.10.68.23.36
Mail: julien.laignel@9online.fr
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Auteur : L. Léonard |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Lilian Léonard
email : lilian.leonard@mnhn.fr
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Longueur 60-66 cm, envergure 1,75-1,95 m, poids moyen 800-1 300 g.
Il niche dans les bosquets d’arbres élevés ou dans le bocage mais s’alimente surtout en terrain découvert, cherchant ses proies dans la végétation basse. Il les détecte par des planés hauts ou des vols actifs bas à la manière des busards. Dans certaines localités, il a gardé son comportement urbain de charognard, mais en général, il habite maintenant dans des secteurs reculés et préservés des perturbations humaines.
Le Milan royal se nourrit de toutes sortes d’animaux vivants ou morts. La plupart des proies sont capturées par surprise mais il arrive qu’il poursuive en vol un insecte ou un oiseau. Il peut aussi dérober la proie d’autres oiseaux (Buse, Balbuzard, Héron, Corvidés…) ou encore piller un nid.
Moins grégaire que le Milan noir, il chasse surtout en solitaire. Il peut se regrouper en dortoirs importants (parfois plus de 100 oiseaux, toujours dans des arbres) mais s’observe isolément ou en petits groupes en journée, y compris en migration. Les aires sont très dispersées et généralement à plus de 1 km les unes des autres. Elles sont occupées à partir de février-mars, voire dès janvier pour les sédentaires. Les territoires des couples se chevauchent sans que des conflits soient remarqués. En présence de la ponte ou de jeunes oiseaux, le mâle défend les abords de l’aire contre ses congénères et tout autre prédateur potentiel. Il passe la nuit à proximité de la nichée, de même que la femelle lorsque les jeunes sont suffisamment grands.
L’unique ponte de 1 à 3 œufs est déposée en mars ou avril, selon la latitude. L’aire est placée à la fourche d’une branche et peut être réutilisée d’une année sur l’autre. C’est assez souvent un ancien nid de Grand Corbeau ou de Buse. Des herbes et de la laine de mouton sont ajoutées à la coupe de branchettes, parfois aussi des papiers et plastiques. La date d’envol des jeunes dépend de leur nombre et de la nourriture disponible. Les plus précoces se déplacent vers des branches attenantes à l’aire dès l’âge de 45 jours, mais s’envolent rarement avant le 50e jour. Certains ne décollent qu’au 70e jour.
Spanneut, L.(Ecosphère, Service du Patrimoine Naturel.),2008
continental
Métropole
Outre-mer
marin
Métropole
Outre-mer
La carte présente une synthèse à la maille 10 x 10 km des données d’observation de l’espèce transmises au SINP. Ces données ont été soumises à des filtres de validation.
La carte présente une couche de répartition de référence de l’espèce à l’échelle des départements et des secteurs marins. Les données de présence et d’absence ont été établies par expertise au sein d’un réseau de partenaires. Cette répartition de référence est utilisée dans le processus de validation des données du SINP au niveau de l’INPN.
Correspond à un signalement sur la base d'au moins une observation avérée dans une période de 10 ans (20 ans pour les invertébrés peu connus) précédant l'année de référence et aucune présomption de disparition depuis l'obtention de la dernière donnée ni doute sur le caractère reproducteur et implanté de cette population. Pour les espèces migratrices, la pr&easence indiqu&eae concerne les zones de reproduction.
Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce point recouvre l'absence, par nature plus difficile à démontrer que la présence. Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce statut doit également être attribué à un département dans lequel la présence de l'espèce est occasionnelle.
Cas particulier d'absence liée à une disparition avérée depuis moins d'un demi-siècle (les disparitions anciennes sont traitées comme « absence probable ou certaine »).
Dans l'état des connaissances, on ne peut pas se prononcer sur la présence ou l'absence actuelle dans le département. Il s'agit du statut utilisé par défaut quand on ne se situe pas dans une des catégories précédente ou dès lors qu'il y a un doute.
La carte présente la répartition mondiale de l’espèce à partir des données du GBIF (Global Biodiversity Information Facility - Système mondial d'information sur la biodiversité).