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Auteur : S. Figuet |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Sarah FIGUET
Muséum national d'Histoire naturelle - Service du Patrimoine Naturel
36 rue Geoffroy Saint-Hilaire
CP 41
75 231 PARIS CEDEX 05
e-mail : sfiguet@mnhn.fr
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
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Auteur : C. Roy |
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Auteur : J. LAIGNEL |
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Julien Laignel
Chargé de mission SNB - SPN/MNHN
4, avenue du Petit Château
91800 BRUNOY
Tel.: 06.10.68.23.36
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Auteur : J.P. Siblet |
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Jean-Philippe Siblet - Directeur
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Longueur 95-105 cm, envergure 240-280 cm, poids 7,5-11 kg.
Il habite de préférence les régions accidentées chaudes. Les zones plus froides ou pluvieuses ne sont tolérées que s’il y trouve des conditions avantageuses de reproduction ou d’alimentation. Il a besoin de courants d’air ascendants pour se déplacer et monte ainsi jusqu’à 3 000 m et plus. Son rayon d’action est supérieur aux autres vautours européens.
Le Vautour fauve se nourrit de charognes de taille moyenne à grande (bétail, notamment), visant particulièrement les muscles et les viscères. La recherche est méthodique, les oiseaux d’une colonie exploitant le même secteur à portée de vue les uns des autres. Ils repèrent les carcasses à la vue, souvent par les mouvements d’autres oiseaux en vol ou au sol. Le long cou permet à la tête de pénétrer profondément dans les carcasses, tandis que les bords coupants du bec entaillent rapidement les parties molles. La langue possède en outre des séries d’épines pour maintenir et avaler les viscères.
Le Vautour fauve est grégaire. Il patrouille en solitaire mais se regroupe sur les carcasses et sur les falaises où il niche. C’est la seule espèce vraiment coloniale de vautour dans l’Ouest paléarctique. Les aires sont généralement bien espacées, à moins que la topographie du site n’impose un rapprochement des couples. Les activités de parade aérienne consistent en des vols élevés et des jeux de copie des mouvements du partenaire, les deux oiseaux volant très proches l’un de l’autre. Sur les carcasses, la dominance se fait plus selon le degré de faim que selon un rang social stable. Les oiseaux se nourrissent ensemble lorsqu’ils ont tous autant faim et que la carcasse est grande. Dans le cas contraire, des disputes parfois violentes éclatent et une hiérarchie s’établit alors. Les combats sont normalement courts et ritualisés, ne causant pas de blessures sérieuses.
Les colonies comprennent généralement 15 à 20 couples. L’aire est sur une corniche ou dans une grotte peu profonde, très rarement dans un vieux nid sur un arbre. Elle atteint 1 mètre de diamètre ; c’est une coupe nette dans un tas de branchettes, de plumes et d’herbe. L’œuf unique est déposé à partir de fin février. L’incubation dure une cinquantaine de jours et les jeunes sont volants peu avant à l’âge de 4 mois.
Spanneut, L.(Ecosphère, Service du Patrimoine Naturel.),2008
continental
Métropole
Outre-mer
marin
Métropole
Outre-mer
La carte présente une synthèse à la maille 10 x 10 km des données d’observation de l’espèce transmises au SINP. Ces données ont été soumises à des filtres de validation.
La carte présente une couche de répartition de référence de l’espèce à l’échelle des départements et des secteurs marins. Les données de présence et d’absence ont été établies par expertise au sein d’un réseau de partenaires. Cette répartition de référence est utilisée dans le processus de validation des données du SINP au niveau de l’INPN.
Correspond à un signalement sur la base d'au moins une observation avérée dans une période de 10 ans (20 ans pour les invertébrés peu connus) précédant l'année de référence et aucune présomption de disparition depuis l'obtention de la dernière donnée ni doute sur le caractère reproducteur et implanté de cette population. Pour les espèces migratrices, la pr&easence indiqu&eae concerne les zones de reproduction.
Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce point recouvre l'absence, par nature plus difficile à démontrer que la présence. Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce statut doit également être attribué à un département dans lequel la présence de l'espèce est occasionnelle.
Cas particulier d'absence liée à une disparition avérée depuis moins d'un demi-siècle (les disparitions anciennes sont traitées comme « absence probable ou certaine »).
Dans l'état des connaissances, on ne peut pas se prononcer sur la présence ou l'absence actuelle dans le département. Il s'agit du statut utilisé par défaut quand on ne se situe pas dans une des catégories précédente ou dès lors qu'il y a un doute.
La carte présente la répartition mondiale de l’espèce à partir des données du GBIF (Global Biodiversity Information Facility - Système mondial d'information sur la biodiversité).