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Auteur : H.Bouyon |
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Bouyon Hervé
herve.bouyon@wanadoo.fr
Toute réutilisation de la présente photographie doit faire l’objet d’une demande d’autorisation auprès de l’auteur.
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Taille :
22-27 mm.
Diagnose :
Tête et thorax brun-rouge à noir. Élytres, antennes et pattes bruns. Dessus recouvert d'un duvet de fins poils blancs, souvent caduques. Thorax avec dorsalement deux lignes latérales blanches bien tranchées, de poils plus denses et plus longs. Abdomen noir à rouge ventralement, avec pour chaque segment latéralement, un triangle de pubescence blanche. Dernier segment abdominal (pygidium) marron, prolongé par une expansion en pointe. Les antennes ont une massue formée par 7 feuillets, qui sont très longs chez le mâle. La larve est de type « ver blanc », le corps blanc, mou et allongé, la tête et les pattes sclérifiées (dures), jaune-orangé.
Facilité d'identification :Espèces proches :
Melolontha melolontha (Linnaeus, 1758) (le Hanneton commun), au comportement moins forestier, dont les thorax et la tête sont franchement noirs, et la pointe terminale de l'abdomen est plus longue et plus large. Melolontha pecoralis Megerle, 1812, présent en France uniquement dans le nord-est, en est également très proche, avec une pointe terminale encore plus courte.
Biologie-ethologie :
Les adultes ont une activité principalement crépusculaire, aux mois de mai et juin. Ils restent camouflés dans la végétation pendant la journée. Rhizophage, la larve effectue un cycle de à trois à quatre ans (suivant les régions et la rigueur de l'hiver), dans le sol, où elle mange diverses racines. Son comportement secondaire prédateur à cannibale provoque une génération plus abondante que les autres, créant tous les 3 à 4 ans ce que l'on appelle une « année à Hanneton ».
Biogéographie :
L'espèce est connue de presque toute la France métropolitaine, à l'exception du quart sud et de la Corse.
D'après: Baraud, J. 1992. Coléoptères Scarabaeoidea d'Europe. Société Linnéenne de Lyon. 873 pp.
A. Horellou(UMS 2006 Patrimoine Naturel (AFB / CNRS / MNHN)),2015
continental
Métropole
Outre-mer
marin
Métropole
Outre-mer
La carte présente une synthèse à la maille 10 x 10 km des données d’observation de l’espèce transmises au SINP. Ces données ont été soumises à des filtres de validation.
La carte présente une couche de répartition de référence de l’espèce à l’échelle des départements et des secteurs marins. Les données de présence et d’absence ont été établies par expertise au sein d’un réseau de partenaires. Cette répartition de référence est utilisée dans le processus de validation des données du SINP au niveau de l’INPN.
Correspond à un signalement sur la base d'au moins une observation avérée dans une période de 10 ans (20 ans pour les invertébrés peu connus) précédant l'année de référence et aucune présomption de disparition depuis l'obtention de la dernière donnée ni doute sur le caractère reproducteur et implanté de cette population. Pour les espèces migratrices, la pr&easence indiqu&eae concerne les zones de reproduction.
Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce point recouvre l'absence, par nature plus difficile à démontrer que la présence. Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce statut doit également être attribué à un département dans lequel la présence de l'espèce est occasionnelle.
Cas particulier d'absence liée à une disparition avérée depuis moins d'un demi-siècle (les disparitions anciennes sont traitées comme « absence probable ou certaine »).
Dans l'état des connaissances, on ne peut pas se prononcer sur la présence ou l'absence actuelle dans le département. Il s'agit du statut utilisé par défaut quand on ne se situe pas dans une des catégories précédente ou dès lors qu'il y a un doute.
La carte présente la répartition mondiale de l’espèce à partir des données du GBIF (Global Biodiversity Information Facility - Système mondial d'information sur la biodiversité).