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Auteur : Laurent Rouschmeyer |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Laurent Rouschmeyer
email : inpn@mnhn.fr
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
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Auteur : J.P. Siblet |
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Jean-Philippe SIBLET
Muséum national d'Histoire naturelle - Service du Patrimoine Naturel
36 rue Geoffroy Saint-Hilaire
CP 41
75 231 PARIS CEDEX 05
e-mail : inpn@mnhn.fr
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Auteur : S. Wroza |
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Taille/poids :
Longueur totale : 14 cm. Poids : 11 à 20 g.
Diagnose :
La Locustelle luscinioïde a un plumage assez terne, brun roux uniforme dans toutes les parties dorsales, blanchâtre pour la gorge et le cou et beige pour la partie ventrale. La tête est allongée et la queue est large et arrondie.
Détermination :
Moyennement difficile.
Espèces proches :
Pour une oreille exercée, la stridulation de la luscinoïde est caractéristique, plus grave que celle de la Locustelle tachetée. Des confusions sont possibles avec d'autres espèces au plumage de coloration uniforme, qui sont toutefois de plus faible taille : la Rousserolle effarvatte Acrocephalus scirpaceus et la Bouscarle de Cetti Cettia cetti.
Période d'observation :
Avril à septembre.
Biologie-éthologie :
Insectivore stricte, la Locustelle luscinioïde se nourrit d'adultes et de larves d'arthropodes qu'elle recherche au pied de la végétation dense ou dans des secteurs dégagés au sol ou à la surface de l'eau.
Biogéographie et écologie :
La Locustelle luscinioïde se reproduit de l'Afrique du nord-ouest jusqu'aux pays Baltes et du Portugal aux rives de la Volga, mais c'est surtout entre 45° et 55° de latitude nord que se trouvent les principales zones de nidification. L'espèce colonise les grandes roselières, les formations à grandes laîches et les zones à massettes.
Compilé par J. Comolet-Tirman à partir des Cahiers d’habitats.(UMS 2006 Patrimoine Naturel (AFB / CNRS / MNHN)),2017
continental
Métropole
Outre-mer
marin
Métropole
Outre-mer
La carte présente une synthèse à la maille 10 x 10 km des données d’observation de l’espèce transmises au SINP. Ces données ont été soumises à des filtres de validation.
La carte présente une couche de répartition de référence de l’espèce à l’échelle des départements et des secteurs marins. Les données de présence et d’absence ont été établies par expertise au sein d’un réseau de partenaires. Cette répartition de référence est utilisée dans le processus de validation des données du SINP au niveau de l’INPN.
Correspond à un signalement sur la base d'au moins une observation avérée dans une période de 10 ans (20 ans pour les invertébrés peu connus) précédant l'année de référence et aucune présomption de disparition depuis l'obtention de la dernière donnée ni doute sur le caractère reproducteur et implanté de cette population. Pour les espèces migratrices, la pr&easence indiqu&eae concerne les zones de reproduction.
Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce point recouvre l'absence, par nature plus difficile à démontrer que la présence. Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce statut doit également être attribué à un département dans lequel la présence de l'espèce est occasionnelle.
Cas particulier d'absence liée à une disparition avérée depuis moins d'un demi-siècle (les disparitions anciennes sont traitées comme « absence probable ou certaine »).
Dans l'état des connaissances, on ne peut pas se prononcer sur la présence ou l'absence actuelle dans le département. Il s'agit du statut utilisé par défaut quand on ne se situe pas dans une des catégories précédente ou dès lors qu'il y a un doute.
La carte présente la répartition mondiale de l’espèce à partir des données du GBIF (Global Biodiversity Information Facility - Système mondial d'information sur la biodiversité).