cd_nom
Auteur : F. Jacq |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Frédéric Jacq
site internet : fred-jacq.org
email : jacq_fred@hotmail.com
Légende : Manu patia, guêpe commune, Vespula vulgaris, guêpe introduite et envahissante, ici sur la crête "Te ara po", au mont Marau à 1480 m d'altitude, sur l'île de Tahiti, archipel de la Société
Toute réutilisation de la présente photographie doit faire l’objet d’une demande d’autorisation auprès de l’auteur.
Lien vers le code de la propriété intellectuelle (Legifrance)
Auteur : Q. Rome |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Quentin Rome
Muséum national d'Histoire naturelle
UMR7205 CNRS
Entomologie CP50 - Service Hymenoptera
45 rue Buffon 75005 Paris
courriel : rome@mnhn.fr
Légende : Ouvrière
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Quentin Rome
Muséum national d'Histoire naturelle
UMR7205 CNRS
Entomologie CP50 - Service Hymenoptera
45 rue Buffon 75005 Paris
courriel : rome@mnhn.fr
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Taille/poids :
Longueur du corps : 11 à 14 mm (ouvrières) ; 16 à 19 mm (reines) ; 13 à 17 mm (mâles).
Diagnose :
Présence d'un rétrécissement (pétiole) entre le thorax et le gastre. Les ailes au repos sont pliées longitudinalement. Dessins noirs et jaunes très variables; l'abdomen est rayé et les pattes sont jaunes. Nid de couleur beige.
Détermination :
Moyennement difficile.
Espèces proches :
La guêpe germanique, Vespula germanica, lui ressemble le plus. Elle s'en distingue par la couleur de son nid qui est gris, par la forme de la 1ère dent de sa mandibule et par une combinaison de dessins. Les autres Vespula présentent des tâches rouge (V. rufa), ou un clypeus de forme différente. Les guêpes du genre Dolichovespula ont un espace entre l'œil et la mandibule plus grand.
Période d'observation :
Avril à octobre.
Biologie-éthologie :
Le cycle de vie est annuel. La jeune reine hiverne à l'abri des intempéries. Elle se réveille au printemps, recherche des liquides sucrés pour se nourrir, puis un emplacement où fonder son nid (ancien nid de mammifère, intérieur d'un bâtiment, etc.). Elle élèvera ses premières larves en les nourrissant avec des proies (mouches, chenilles et charognes surtout). À son apogée, le nid peut dépasser 30 cm de diamètre et compter plus de 7000 individus. Les individus sexués quittent le nid en fin d'été. Seules les futures reines passeront l'hiver.
Biogéographique et écologie :
Présente en Europe et Asie tempérée. Invasive dans de nombreux pays de l'hémisphère sud.
Préfère les milieux ouverts, secs à moyennement humide y compris urbanisés. C'est une des rares espèces de guêpes à incommoder l'homme.
D'après :
Bellmann, H. 1999. Guide des abeilles, bourdons, guêpes et fourmis d'Europe: l'identification, le comportement, l'habitat. Delachaux et Niestlé, Lausanne-Paris. 336 pp.
Archer, M.E. 2012. Vespine wasps of the world. Behaviour, Ecology and Taxonomy of the Vespinae. Monograph series. Siri Scientific Press, Manchester. 4: 352 pp.
Q. Rome(UMS 2006 Patrimoine Naturel (AFB / CNRS / MNHN)),2016
continental
Métropole
Outre-mer
marin
Métropole
Outre-mer
La carte présente une synthèse à la maille 10 x 10 km des données d’observation de l’espèce transmises au SINP. Ces données ont été soumises à des filtres de validation.
La carte présente une couche de répartition de référence de l’espèce à l’échelle des départements et des secteurs marins. Les données de présence et d’absence ont été établies par expertise au sein d’un réseau de partenaires. Cette répartition de référence est utilisée dans le processus de validation des données du SINP au niveau de l’INPN.
Correspond à un signalement sur la base d'au moins une observation avérée dans une période de 10 ans (20 ans pour les invertébrés peu connus) précédant l'année de référence et aucune présomption de disparition depuis l'obtention de la dernière donnée ni doute sur le caractère reproducteur et implanté de cette population. Pour les espèces migratrices, la pr&easence indiqu&eae concerne les zones de reproduction.
Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce point recouvre l'absence, par nature plus difficile à démontrer que la présence. Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce statut doit également être attribué à un département dans lequel la présence de l'espèce est occasionnelle.
Cas particulier d'absence liée à une disparition avérée depuis moins d'un demi-siècle (les disparitions anciennes sont traitées comme « absence probable ou certaine »).
Dans l'état des connaissances, on ne peut pas se prononcer sur la présence ou l'absence actuelle dans le département. Il s'agit du statut utilisé par défaut quand on ne se situe pas dans une des catégories précédente ou dès lors qu'il y a un doute.
La carte présente la répartition mondiale de l’espèce à partir des données du GBIF (Global Biodiversity Information Facility - Système mondial d'information sur la biodiversité).