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Olivier Delzons MNHN / SPN4 Av du petit château91800 Brunoy
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Gallinula galeata (Lichtenstein, 1818)
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Auteur : S. Wroza
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Longueur totale du corps : environ 50 cm, envergure de 30 à 38 cm. Poids : d'environ 380 g.
Diagnose
Cette espèce a les parties supérieures gris ardoisé foncé teinté de brun-olive sur le milieu du dos et le croupion. Les parties inférieures sont gris foncé à noirâtre. On note la ligne blanche qui court sur le haut des flancs, et les couvertures sous-caudales externes blanches souvent exposées lors des parades. Le bec est rouge avec l'extrémité jaune. Il s'étend vers le haut en une grande plaque frontale rouge et de forme plutôt carrée. Les yeux sont rouges ou brun-rouge. Les pattes et les longs doigts sont vert-jaune ou jaunes, avec la moitié supérieure du tibia rouge orangé. Mâle et femelle sont identiques au niveau du plumage, mais le mâle est plus grand.
Détermination
Difficile, présence de 7 sous-espèces.
Espèces proches
Elle était auparavant associée à la Gallinule poule-d'eau dans une seule et même espèce. Elles ont été séparées en juillet 2011 et la gallinule du Nouveau Monde est aujourd'hui une espèce à part entière. La division est basée sur les différences morphologiques entre les deux espèces, en particulier la plaque frontale plus grande et carrée chez la Gallinule d'Amérique, tandis que l'espèce de l'Ancien Monde a une plaque plus ovale et moins importante.
Période d'observation
On peut l'observer toute l'année en Guadeloupe.
Biologie – éthologie
Cette dernière fréquente les marais d'eau douce avec quelques étendues d'eau ouvertes, et même avec des zones terrestres découvertes et de la végétation dense le long des rives. Elle est aussi présente sur les étangs où poussent beaucoup de roseaux, près des réservoirs et des herbages inondés. Au Galápagos, elle fréquente les eaux saumâtres, et parfois les mangroves à Porto Rico. Elle évite généralement les eaux salées.
Biogéographie et écologie
On la retrouve tout au long de Brésil et presque sur toute la planète, à l'exception de l'Australie et de la Nouvelle-Zélande.
Sources Dunn, J.L. & Alderer, J. 2006. Field guide to the birds of Eastern North America. National Geographic, 576p.
La carte présente une synthèse à la maille 10 x 10 km des données d’observation de l’espèce transmises au SINP. Ces données ont été soumises à des filtres de validation.
La carte présente la répartition mondiale de l’espèce à partir des données du GBIF (Global Biodiversity Information Facility - Système mondial d'information sur la biodiversité).