cd_nom
Auteur : O. Roquinarc'h |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Océane ROQUINARC'H,
Muséum national d'Histoire naturelle,
UMS 2006 Patrimoine Naturel,
4 Avenue du Petit Château,
91800 BRUNOY
mail : oceane.roquinarch@mnhn.fr
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Auteur : J. LAIGNEL |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Julien Laignel
Chargé demission SNB - SPN/MNHN
4, avenuedu Petit Château
91800BRUNOY
Tel.: 06.10.68.23.36
Mail:julien.laignel@9online.fr
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Auteur : J. Touroult |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Auteur : S. Wroza |
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Auteur : F. Chevaillot |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Fred CHEVAILLOT
Moulin de Castor
La Maynobe
12550 COUPIAC
06 51 19 18 32
09 88 28 31 26
www.insecte.org
email : fred.chevaillot@wanadoo.fr
Toute réutilisation de la présente photographie doit faire l’objet d’une demande d’autorisation auprès de l’auteur.
Lien vers le code de la propriété intellectuelle (Legifrance)
Taille/poids :
Longueur du corps : 20-26 mm.
Diagnose :
Chez cette espèce le corps est noir. L'aile antérieure (ou tegmen chez les Orthoptères) est rigide et recouvre une grande partie de l'abdomen. Elle est jaune fauve avec de nombreuses nervures régulières de couleur noire sur le dessus et jaune fauve sur le coté du corps. Le tegmen des mâles possède une tache apicale de couleur jaune fauve. Les nervures noires sont très développées ce qui donne un aspect "sculpté".
Détermination :
Cette espèce est simple à reconnaître. Il faut cependant faire attention dans le sud de la France.
Espèces proches :
Dans le domaine méditerranéen, l'espèce peut être confondue avec le Grillon provençal. Ce dernier est généralement plus petit et moins trapu. Les tegmens sont noirs avec à l'apex deux taches jaune clair.
Période d'observation :
Les adultes sont observés d'avril à juillet.
Biologie-éthologie :
Le Grillon des champs est principalement phytophage mais aussi insectivore. Chez cette espèce, les juvéniles passent l'hiver dans des terriers. Le développement reprend au début du printemps. Les juvéniles du dernier stade et les adultes construisent un terrier pouvant atteindre une profondeur de 20 cm. Par temps chaud les mâles stridulent à l'entrée de leur terrier dans la journée et jusqu'à tard dans la soirée. La ponte se se déroule au cours des mois de juin et juillet. Les femelles déposent leurs œufs en terre par petits groupes.
Biogéographique et écologie :
Cette espèce est présente dans l'ouest de Europe. En France, cette espèce se rencontre dans de multiples milieux herbacés. On la rencontre jusqu'à 1 800 m d'altitude.
D'après :
Bellmann, H. & Luquet, G. 2009. Guide des sauterelles, grillons et criquets d'Europe occidentale. Les guides du naturaliste. Delachaux & Niestlé, 384 pp.
Sardet, E., Roesti, C. & Braud, Y. 2015. Cahier d'identification des Orthoptères de France, Belgique, Luxembourg et Suisse. Collection Parthénope, Biotope, Mèze, 304 pp.P. Dupont(UMS 2006 Patrimoine Naturel (AFB / CNRS / MNHN)),2016
continental
Métropole
Outre-mer
marin
Métropole
Outre-mer
La carte présente une synthèse à la maille 10 x 10 km des données d’observation de l’espèce transmises au SINP. Ces données ont été soumises à des filtres de validation.
La carte présente une couche de répartition de référence de l’espèce à l’échelle des départements et des secteurs marins. Les données de présence et d’absence ont été établies par expertise au sein d’un réseau de partenaires. Cette répartition de référence est utilisée dans le processus de validation des données du SINP au niveau de l’INPN.
Correspond à un signalement sur la base d'au moins une observation avérée dans une période de 10 ans (20 ans pour les invertébrés peu connus) précédant l'année de référence et aucune présomption de disparition depuis l'obtention de la dernière donnée ni doute sur le caractère reproducteur et implanté de cette population. Pour les espèces migratrices, la pr&easence indiqu&eae concerne les zones de reproduction.
Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce point recouvre l'absence, par nature plus difficile à démontrer que la présence. Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce statut doit également être attribué à un département dans lequel la présence de l'espèce est occasionnelle.
Cas particulier d'absence liée à une disparition avérée depuis moins d'un demi-siècle (les disparitions anciennes sont traitées comme « absence probable ou certaine »).
Dans l'état des connaissances, on ne peut pas se prononcer sur la présence ou l'absence actuelle dans le département. Il s'agit du statut utilisé par défaut quand on ne se situe pas dans une des catégories précédente ou dès lors qu'il y a un doute.
La carte présente la répartition mondiale de l’espèce à partir des données du GBIF (Global Biodiversity Information Facility - Système mondial d'information sur la biodiversité).