cd_nom
Auteur : J. Touroult |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Légende : Mâle (Lot-et-Garonne)
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Auteur : J. Touroult |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Légende : Mâle (Lot-et-Garonne)
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Auteur : J. Touroult |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Légende : Mâle (Lot-et-Garonne)
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Auteur : J. Touroult |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Julien TOUROULT
Muséum national d'Histoire naturelle - Service du Patrimoine Naturel
36 rue Geoffroy Saint-Hilaire
CP 41
75 231 PARIS CEDEX 05
e-mail : inpn@mnhn.fr
Légende : Mâle, Aveyron
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Auteur : J. Touroult |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Julien Touroult
UMS PatriNat (AFB - CNRS - MNHN)
Muséum national d'Histoire naturelle, CP41, 36 rue Geoffroy Saint-Hilaire, 75005 Paris
Légende : Lot.
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Auteur : R. Poncet |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Rémy Poncet
Muséum national d'Histoire naturelle - PatriNat
36 rue Geoffroy Saint-Hilaire CP 41
75 231 PARIS CEDEX 05
e-mail : inpn@mnhn.fr
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Taille :
24-37 mm.
Diagnose :
Entièrement noir, le segment thoracique visible le plus souvent avec des reflets métalliques violacés (mais parfois verts ou bleus) et la marge des élytres avec des reflets le plus souvent bleus (mais parfois violacés ou verts). Corps allongé, les pattes longues, aptes à la course. Les élytres et le premier segment thoracique ne forment pas une courbe continue, les deux segments sont bien individualisés. Élytres à granulation laissant apparaître de nombreuses stries, confuses à très nettes La tête est longue et porte de solides mandibules. Le mâle se reconnaît à ses tarses (les derniers articles des pattes) antérieurs dilatés, adaptés à la préhension de la femelle lors de l'accouplement. Brachyptères, les élytres sont soudés (l'espèce est inapte au vol).
Facilité d'identification :
Moyennement difficile
Confusion possibles :
Cette espèce peut être confondue avec les autres espèces noires à reflets bleus ou violacés du genre Carabus, comme Carabus germari Sturm, 1815, Carabus problematicus Herbst, 1786, Carabus nemoralis O.F. Müller, 1764 (certaines formes particulières), Carabus solieri Dejean, 1826 (formes noires) ou Carabus coriaceus Linnaeus, 1758 (liste non exhaustive). La variabilité au sein de chaque espèce empêche de définir ici des critères permettant de séparer de manière certaine ces espèces entre elles. Cette sous-espèce est très proche de la sous-espèce Carabus violaceus picenus A. Villa & G.B. Villa, 1838.
Périodes d'observation :
Toute l'année. Active au printemps et à la fin de l'été. Diapause estivale en juillet/août et hivernale entre novembre et mars/avril. Larves vers fin juin (en plaine).
Biologie/Ethologie :
En plaine, cette espèce est sylvicole et prédatrice. En altitude, elle peut exister en prairie. Les larves comme les adultes ont le même régime alimentaire : mollusques terrestres (escargots, limaces), larves, vers…. Mais ils ne mangent pas de la même façon. Les adultes ont des mandibules pour mastiquer. Les larves ont dans les mandibules qui injectent des enzymes de digestion puis qui aspirent la proie digérée vivante de l'intérieur (digestion dite « extra-orale »).
Les œufs sont pondus en juin (en plaine), le développement larvaire dure deux à trois semaines. Une femelle pond environ 20/30 œufs. Le développement entre la ponte et l'émergence d'un adulte (œuf + larve + nymphe) dure une soixantaine de jours.
La grande variabilité de cette espèce est due à l'inaptitude au vol des adultes. Cette incapacité de dispersion à grande échelle a provoqué, de par le mouvement et la création de barrières naturelles (cours d'eau, reliefs…), puis des aménagements humains, de nombreuses populations isolées entre elles.
Biogéographie :
L'espèce est connue de toute la France continentale, elle est toutefois absente de Corse et de certains massifs montagneux où elle est remplacée par les autres sous-espèces de Carabus violaceus Linnaeus, 1758. Cette espèce est encore largement commune dans les forêts de plaine.
D'après : Coulon, J., Pupier, R., Queinnec, E., Ollivier, E. & Richoux, P. 2011. Coléoptères Carabidae de France: Compléments aux 2 volumes de René Jeannel. Mise à jour, corrections et répertoire. Faune de France, 94: 1-352 pp., 70 pl.
A. Horellou(UMS 2006 Patrimoine Naturel (AFB / CNRS / MNHN)),2015
continental
Métropole
Outre-mer
marin
Métropole
Outre-mer
La carte présente une synthèse à la maille 10 x 10 km des données d’observation de l’espèce transmises au SINP. Ces données ont été soumises à des filtres de validation.
La carte présente une couche de répartition de référence de l’espèce à l’échelle des départements et des secteurs marins. Les données de présence et d’absence ont été établies par expertise au sein d’un réseau de partenaires. Cette répartition de référence est utilisée dans le processus de validation des données du SINP au niveau de l’INPN.
Correspond à un signalement sur la base d'au moins une observation avérée dans une période de 10 ans (20 ans pour les invertébrés peu connus) précédant l'année de référence et aucune présomption de disparition depuis l'obtention de la dernière donnée ni doute sur le caractère reproducteur et implanté de cette population. Pour les espèces migratrices, la pr&easence indiqu&eae concerne les zones de reproduction.
Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce point recouvre l'absence, par nature plus difficile à démontrer que la présence. Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce statut doit également être attribué à un département dans lequel la présence de l'espèce est occasionnelle.
Cas particulier d'absence liée à une disparition avérée depuis moins d'un demi-siècle (les disparitions anciennes sont traitées comme « absence probable ou certaine »).
Dans l'état des connaissances, on ne peut pas se prononcer sur la présence ou l'absence actuelle dans le département. Il s'agit du statut utilisé par défaut quand on ne se situe pas dans une des catégories précédente ou dès lors qu'il y a un doute.
La carte présente la répartition mondiale de l’espèce à partir des données du GBIF (Global Biodiversity Information Facility - Système mondial d'information sur la biodiversité).