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Auteur : H. Bouyon |
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Auteur : J. Touroult |
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Julien TOUROULT
Muséum national d'Histoire naturelle - Service du Patrimoine Naturel
36 rue Geoffroy Saint-Hilaire
CP 41
75 231 PARIS CEDEX 05
e-mail : inpn@mnhn.fr
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Auteur : Magellanes |
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Auteur : H.Bouyon |
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Bouyon Hervé
herve.bouyon@wanadoo.fr
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Taille : 8 - 11 mm
Diagnose :
Petite cétoine, à dense pubescence dressée beige à fauve, brun noir mat à tâches pâles. Le scutellum (écusson) a une ponctuation caractéristique, limitée aux angles antérieurs.
Détermination :
Délicate, sur photo nécessite de bien voir l'écusson.
Espèces proches :
Se distingue d'Oxythyrea funesta par la plus forte pilosité et l'absence de taches blanches sur le pronotum. La ponctuation de l'écusson est le principal critère de distinction avec Tropinota hirta (Poda, 1761).
Période d'observation :
Les adultes sont actifs de mars à septembre.
Biologie-éthologie :
L'adulte est floricole, consommant pollen, nectar, étamines des fleurs, et même boutons floraux. La larve se développe dans les matières végétales en décomposition, le terreau ou le bois vermoulu. Le cycle de développement est d'un an.
Biogéographie et écologie :
T. squalida occupe tout le bassin méditerranéen et remonte plus ou moins au nord, en particulier le long de la façade atlantique. L'espèce est souvent commune dans les milieux ouverts, garrigues, pelouses, milieux littoraux etc.
D'après :
PAULIAN, R. & BARAUD, J. 1982. Faune des Coléoptères de France II : Lucanoidea et Scarabaeoidea. Encyclopédie Entomologique XLIII, Lechevalier, Paris, 473p.
L. Valladares (EIPurpan (UMR INRA / INPT 1201 Dynafor)),2019
continental
Métropole
Outre-mer
marin
Métropole
Outre-mer
La carte présente une synthèse à la maille 10 x 10 km des données d’observation de l’espèce transmises au SINP. Ces données ont été soumises à des filtres de validation.
La carte présente une couche de répartition de référence de l’espèce à l’échelle des départements et des secteurs marins. Les données de présence et d’absence ont été établies par expertise au sein d’un réseau de partenaires. Cette répartition de référence est utilisée dans le processus de validation des données du SINP au niveau de l’INPN.
Correspond à un signalement sur la base d'au moins une observation avérée dans une période de 10 ans (20 ans pour les invertébrés peu connus) précédant l'année de référence et aucune présomption de disparition depuis l'obtention de la dernière donnée ni doute sur le caractère reproducteur et implanté de cette population. Pour les espèces migratrices, la pr&easence indiqu&eae concerne les zones de reproduction.
Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce point recouvre l'absence, par nature plus difficile à démontrer que la présence. Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce statut doit également être attribué à un département dans lequel la présence de l'espèce est occasionnelle.
Cas particulier d'absence liée à une disparition avérée depuis moins d'un demi-siècle (les disparitions anciennes sont traitées comme « absence probable ou certaine »).
Dans l'état des connaissances, on ne peut pas se prononcer sur la présence ou l'absence actuelle dans le département. Il s'agit du statut utilisé par défaut quand on ne se situe pas dans une des catégories précédente ou dès lors qu'il y a un doute.
La carte présente la répartition mondiale de l’espèce à partir des données du GBIF (Global Biodiversity Information Facility - Système mondial d'information sur la biodiversité).