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Auteur : H. Bouyon |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Hervé BOUYON
email : herve.bouyon@wanadoo.fr
Toute réutilisation de la présente photographie doit faire l’objet d’une demande d’autorisation auprès de l’auteur.
Lien vers le code de la propriété intellectuelle (Legifrance)
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Taille : 2,6 – 4 mm
Diagnose :Minuscule punaise entièrement brun noir avec des petites épines et des soies sur les bords de la tête, des soies sur les bords du pronotum et des ailes, et des pattes fortement épineuses car fouisseuses (sous-famille des Cydninae). Son ventre est pourvu de longs poils dirigés vers l'arrière. Ses yeux sont relativement petits, son front (entre les yeux) étant 5,5 à 6 fois aussi large qu'un œil.
Détermination : Délicate.
Espèces proches :Comme les autres Byrsinus, elle a des petites épines sur le bord antérieur de la tête. Mais elle est facile à distinguer de Byrsinus albipennis qui est bicolore. La distinction avec Byrsinus pilosulus est plus délicate et se fait avec une loupe en observant la taille relative des yeux par rapport à la tête, car ils sont relativement plus gros chez B. pilosulus (front 3 à 4 fois aussi large qu'un œil).
Période d'observation : Mars à octobre, mais peut aussi être trouvée en hiver dans le même biotope.
Biologie-éthologie :C'est une espèce souterraine et fouisseuse trouvée dans le sable des dunes maritimes ou, plus rarement, dans les limons des bords des rivières. Elle vit au pied des plantes basses, parmi leurs racines ou sous les débris végétaux. Elle est polyphage et a été rencontrée au sein des racines de diverses plantes qu'elle ponctionne vraisemblablement, comme la renouée liseron, la bugrane gluante, des centaurées ou différentes graminées des sables.
Biogéographie et écologie :Cette punaise possède une distribution eurosibérienne étendue, atteignant la Chine à l'est, et 55° de latitude au nord. Elle est également répandue en Afrique du Nord. Cette petite espèce peut être assez commune dans son biotope, le sable, au pied des plantes qu'elle affectionne, car on la voit rarement marcher sur le sable.
Roland Lupoli (),2019
continental
Métropole
Outre-mer
marin
Métropole
Outre-mer
La carte présente une synthèse à la maille 10 x 10 km des données d’observation de l’espèce transmises au SINP. Ces données ont été soumises à des filtres de validation.
La carte présente une couche de répartition de référence de l’espèce à l’échelle des départements et des secteurs marins. Les données de présence et d’absence ont été établies par expertise au sein d’un réseau de partenaires. Cette répartition de référence est utilisée dans le processus de validation des données du SINP au niveau de l’INPN.
Correspond à un signalement sur la base d'au moins une observation avérée dans une période de 10 ans (20 ans pour les invertébrés peu connus) précédant l'année de référence et aucune présomption de disparition depuis l'obtention de la dernière donnée ni doute sur le caractère reproducteur et implanté de cette population. Pour les espèces migratrices, la pr&easence indiqu&eae concerne les zones de reproduction.
Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce point recouvre l'absence, par nature plus difficile à démontrer que la présence. Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce statut doit également être attribué à un département dans lequel la présence de l'espèce est occasionnelle.
Cas particulier d'absence liée à une disparition avérée depuis moins d'un demi-siècle (les disparitions anciennes sont traitées comme « absence probable ou certaine »).
Dans l'état des connaissances, on ne peut pas se prononcer sur la présence ou l'absence actuelle dans le département. Il s'agit du statut utilisé par défaut quand on ne se situe pas dans une des catégories précédente ou dès lors qu'il y a un doute.
La carte présente la répartition mondiale de l’espèce à partir des données du GBIF (Global Biodiversity Information Facility - Système mondial d'information sur la biodiversité).