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Auteur : F. Chevaillot |
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Fred CHEVAILLOT
Moulin de Castor
La Maynobe
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Auteur : S. Richaud |
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Auteur : Cochard Pierre-Olivier |
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Auteur : S. Richaud |
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Taille : 4,3 – 6 mm
Diagnose :
Petite punaise brunâtre allongée avec les bords de la tête et du pronotum aplatis en lamelles, et non rebordés. Corps aplati dorso‐ventralement. Tête large et courte, 1,4 à 1,6 fois plus large que longue, à bords latéraux convergents en avant des yeux qui ne sont pas pédonculés. Ses membranes alaires portent des taches noires de forme arrondie. Sa face dorsale est densément ponctuée de points noirs ou bruns sauf dans les angles antérieurs du pronotum où ils sont plus clairs.
Détermination : Moyennement difficile.
Espèces proches :
On distingue cette espèce des autres Sciocoris car elle a ses angles antérieurs du pronotum nettement éclaircis et contrastés par rapport au reste du corps, et des petites taches noires couvrant la membrane. Elle est proche de Sciocoris sideritidis qui a la tête nettement plus allongée et étroite seulement 1 à 1,4 fois plus large que longue et dont les bords sont quasi-parallèles devant les yeux.
Période d'observation :
Mars à octobre, avec un pic important en juin.
Biologie-éthologie :
Espèce relativement polyphage qui vit sur différents genres de plantes vivaces comme le romarin, les thyms, les phlomis, également sur le phagnalon, les immortelles, les seneçons, et sur les oyats et différentes graminées.
Biogéographie et écologie :
Espèce méditerranéo-atlantique, présente à l'est jusqu'en Iran et Azerbaïdjan. Elle est le plus souvent rencontrée proche des côtes. Assez peu exigeante écologiquement, elle colonise des milieux chauds et secs : garrigues, maquis, friches, bords des chemins, dunes et arrière dunes, pinèdes, fourrés, pelouses fleuries riches en graminées et buissons vivaces. Elle est commune dans la zone méditerranéenne, plus rare en dehors.
Roland Lupoli (),2020
continental
Métropole
Outre-mer
marin
Métropole
Outre-mer
La carte présente une synthèse à la maille 10 x 10 km des données d’observation de l’espèce transmises au SINP. Ces données ont été soumises à des filtres de validation.
La carte présente une couche de répartition de référence de l’espèce à l’échelle des départements et des secteurs marins. Les données de présence et d’absence ont été établies par expertise au sein d’un réseau de partenaires. Cette répartition de référence est utilisée dans le processus de validation des données du SINP au niveau de l’INPN.
Correspond à un signalement sur la base d'au moins une observation avérée dans une période de 10 ans (20 ans pour les invertébrés peu connus) précédant l'année de référence et aucune présomption de disparition depuis l'obtention de la dernière donnée ni doute sur le caractère reproducteur et implanté de cette population. Pour les espèces migratrices, la pr&easence indiqu&eae concerne les zones de reproduction.
Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce point recouvre l'absence, par nature plus difficile à démontrer que la présence. Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce statut doit également être attribué à un département dans lequel la présence de l'espèce est occasionnelle.
Cas particulier d'absence liée à une disparition avérée depuis moins d'un demi-siècle (les disparitions anciennes sont traitées comme « absence probable ou certaine »).
Dans l'état des connaissances, on ne peut pas se prononcer sur la présence ou l'absence actuelle dans le département. Il s'agit du statut utilisé par défaut quand on ne se situe pas dans une des catégories précédente ou dès lors qu'il y a un doute.
La carte présente la répartition mondiale de l’espèce à partir des données du GBIF (Global Biodiversity Information Facility - Système mondial d'information sur la biodiversité).