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Auteur : S. Wroza |
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Longueur 125-145 cm, envergure 140-165 cm, poids 2,1-4,1 kg.
L'habitat est représenté par les lagunes et lacs côtiers fortement salés ou basiques (jusqu'à pH 11). La profondeur doit être faible (< 1 m) sur de grandes superficies, l'espèce se nourrissant dans la vase. Le succès de la reproduction n'est possible que dans des conditions optimales de niveaux hydriques et trophiques.
Le Flamant rose se nourrit de petits invertébrés, ainsi que de diatomées, protozoaires, algues, graines et autres éléments végétaux. Il s'alimente en groupe, de jour comme de nuit. La méthode la plus couramment adoptée consiste à avancer lentement, la tête retournée et immergée entre les pattes. L'eau est expulsée par un pompage de la langue, les matériaux étant retenus dans les lamelles du bec.
L'espèce est très grégaire, se regroupant par milliers sur les zones riches en nourriture. L'emplacement de la colonie varie peu et la ponte est synchronisée par groupes. Les parades et accouplements peuvent avoir lieu en dehors des sites de nid, de même que des ébauches de nid sont parfois construites à distance des colonies. La formation du couple est discrète et se fait probablement lors des recherches alimentaires. L'activité de parade, quant à elle, est sociale (groupes de quelques dizaines d'oiseaux) et les rituels ne sont pas alors directement destinés à un partenaire potentiel. Les deux parents couvent et prennent soin du poussin jusqu'à ce qu'il rejoigne une crèche à l'âge de 8-10 jours. Il peut être encore nourri pendant plusieurs jours mais n'est plus surveillé.
Le nid, en forme de cratère d'une trentaine de centimètres de diamètre, est fait de vase séchée au soleil. Une tranchée est visible sur son pourtour, d'où la vase servant à sa confection est extraite. La distance entre les nids est le plus souvent de 20 à 50 cm. La ponte unique (1 ou 2 œufs) est déposée à partir de la mi-avril, mais la date varie selon les températures et les niveaux d'eau. L'incubation dure 1 mois et l'envol a lieu entre 70 et 75 jours. La vie en crèche peut toutefois durer jusqu'au 100e jour.
Spanneut, L.(Ecosphère, Service du Patrimoine Naturel.),2008
continental
Métropole
Outre-mer
marin
Métropole
Outre-mer
La carte présente une synthèse à la maille 10 x 10 km des données d’observation de l’espèce transmises au SINP. Ces données ont été soumises à des filtres de validation.
La carte présente une couche de répartition de référence de l’espèce à l’échelle des départements et des secteurs marins. Les données de présence et d’absence ont été établies par expertise au sein d’un réseau de partenaires. Cette répartition de référence est utilisée dans le processus de validation des données du SINP au niveau de l’INPN.
Correspond à un signalement sur la base d'au moins une observation avérée dans une période de 10 ans (20 ans pour les invertébrés peu connus) précédant l'année de référence et aucune présomption de disparition depuis l'obtention de la dernière donnée ni doute sur le caractère reproducteur et implanté de cette population. Pour les espèces migratrices, la pr&easence indiqu&eae concerne les zones de reproduction.
Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce point recouvre l'absence, par nature plus difficile à démontrer que la présence. Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce statut doit également être attribué à un département dans lequel la présence de l'espèce est occasionnelle.
Cas particulier d'absence liée à une disparition avérée depuis moins d'un demi-siècle (les disparitions anciennes sont traitées comme « absence probable ou certaine »).
Dans l'état des connaissances, on ne peut pas se prononcer sur la présence ou l'absence actuelle dans le département. Il s'agit du statut utilisé par défaut quand on ne se situe pas dans une des catégories précédente ou dès lors qu'il y a un doute.
La carte présente la répartition mondiale de l’espèce à partir des données du GBIF (Global Biodiversity Information Facility - Système mondial d'information sur la biodiversité).