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Auteur : E. SANSAULT - ANEPE Caudalis |
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Eric Sansault
ANEPE Caudalis
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Auteur : S. Wroza |
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Auteur : F. Rapenne |
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Auteur : R. Clerc |
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Longueur : 24 à 26 cm (mâles et femelles identiques), envergure moyenne : 53 à 60 cm, poids : 90 à 113 g pour les mâles et 126 à 194 g pour les femelles.
La Chouette de Tengmalm possède un disque facial pâle et bien dessiné, bordé de brun-noir. De part et d'autres du bec, un trait noir orne le dessous des yeux jaune citron. Le dessus brun foncé est constellé de pois blancs et le dessous est pâle et couvert de tâches et rayures diffuses brun-gris. Les pieds sont revêtus jusqu'aux ongles d'un plumage d'aspect laineux. Le vol est rectiligne.
La Chouette de Tengmalm possède des mœurs nocturnes. Son activité comprend néanmoins deux pics : l'un vers la fin du crépuscule (22h/23h) et l'autre très tôt le matin (4h/5h) avec un moment de repos strict entre les deux. Les heures de ces deux pics dépendent toutefois de la saison. En période de parade, de nidification ou de nourrissage des jeunes, l'activité peut se poursuivre exceptionnellement en journée.
La Chouette de Tengmalm chasse à l'affût. Elle s'alimente essentiellement de micromammifères (surtout de campagnols, musaraignes et Muridés). Elle peut aussi prélever des petits oiseaux, notamment en hiver lorsque les micromammifères deviennent difficiles à capturer. Ses pelotes de réjection mesurent en moyenne 32 mm de long et 15 mm de diamètre. L'absence d'insectes à l'intérieur permet de les distinguer de celles de la Chouette Chevêche à peu près de la même taille.
En France, l'espèce est réputée sédentaire. Néanmoins, une partie des individus, est capable de mouvements importants, surtout les femelles et les jeunes. Les femelles nichent rarement deux fois de suite au même endroit et avec le même partenaire car elles recherchent les sites les plus favorables selon l'abondance des proies ou les rigueurs de l'hiver ; elles sont dites « nomades ». Les mâles, eux, restent sur leur territoire toute l'année. En conséquence, la répartition de la Chouette de Tengmalm se fait en îlots de sites de nidification.
La Chouette de Tengmalm est relativement associable. Hors reproduction, les individus ne restent pas en couple. Les adultes appariés ne cherchent pas à se rencontrer et utilisent des reposoirs séparés. Le cycle de reproduction commence entre août et novembre. La ponte a lieu de fin-février à début mai et comprend 3 à 10 œufs. Dans certains cas (abondance alimentaire par exemple), les femelles peuvent entreprendre une seconde nichée avec le même mâle ou avec un nouveau partenaire (bigynie). Un mâle peut aussi s'accoupler à deux femelles très proches (biandrie).
Les poussins de Chouette de Tengmalm restent au nid pendant une trentaine de jours. Une fois sortis, ils restent nourris pendant 5 semaines par les parents. Généralement, ils sortent du nid en sachant déjà voler mais certains peuvent patienter dans le feuillage pendant quelques jours. Une fois émancipés, leur dispersion s'effectue dans toutes les directions sur 10 à 20 km (distances plus grandes chez les femelles que chez les mâles) ; certains individus dispersent exceptionnellement jusqu'à 1 000 km.
La Chouette de Tengmalm est une espèce strictement liée à la forêt. Elle est inféodée aux vieux arbres, généralement des Hêtres ou des Sapins, creusés de loges de pics, en grande partie de Pic noir. Elle est dépendante de très vastes surfaces d'habitat boisé favorable. Néanmoins, elle nécessite à l'intérieur de la forêt des espaces ouverts pour chasser (clairières, prairies forestières, coupées, trouées).
Pour en savoir plus : MEBS T. & SCHERZINGER W. (2006). Rapaces nocturnes de France et d'Europe. Les encyclopédies du naturaliste. Éditions Delachaux & Niestlé. 398 pages.
Romain Sordello(UMS 2006 Patrimoine Naturel (AFB / CNRS / MNHN)),2012
continental
Métropole
Outre-mer
marin
Métropole
Outre-mer
La carte présente une synthèse à la maille 10 x 10 km des données d’observation de l’espèce transmises au SINP. Ces données ont été soumises à des filtres de validation.
La carte présente une couche de répartition de référence de l’espèce à l’échelle des départements et des secteurs marins. Les données de présence et d’absence ont été établies par expertise au sein d’un réseau de partenaires. Cette répartition de référence est utilisée dans le processus de validation des données du SINP au niveau de l’INPN.
Correspond à un signalement sur la base d'au moins une observation avérée dans une période de 10 ans (20 ans pour les invertébrés peu connus) précédant l'année de référence et aucune présomption de disparition depuis l'obtention de la dernière donnée ni doute sur le caractère reproducteur et implanté de cette population. Pour les espèces migratrices, la pr&easence indiqu&eae concerne les zones de reproduction.
Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce point recouvre l'absence, par nature plus difficile à démontrer que la présence. Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce statut doit également être attribué à un département dans lequel la présence de l'espèce est occasionnelle.
Cas particulier d'absence liée à une disparition avérée depuis moins d'un demi-siècle (les disparitions anciennes sont traitées comme « absence probable ou certaine »).
Dans l'état des connaissances, on ne peut pas se prononcer sur la présence ou l'absence actuelle dans le département. Il s'agit du statut utilisé par défaut quand on ne se situe pas dans une des catégories précédente ou dès lors qu'il y a un doute.
La carte présente la répartition mondiale de l’espèce à partir des données du GBIF (Global Biodiversity Information Facility - Système mondial d'information sur la biodiversité).