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Auteur : S. Wroza |
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Auteur : J. LAIGNEL |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Julien Laignel
Chargé de mission SNB - UMS2006-PATRINAT/MNHN
4, avenue du Petit Château
91800 BRUNOY
Tel.: 06.10.68.23.36
Mail: julien.laignel@9online.fr
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Auteur : O. Delzons |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Olivier DELZONS
Muséum national d'Histoire naturelle - Service du Patrimoine Naturel
Chargé de mission Biodiversité - Convention Sita
4 avenue du petit château
91 800 BRUNOY
e-mail : delzons@mnhn.fr
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Auteur : S. Wroza |
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Auteur : S. Wroza |
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Taille/poids :
Longueur totale : 15 cm. Poids : 18 à 29 g.
Diagnose :
Le Pipit des arbres est le plus arboricole des pipits présents en France. Son plumage, de couleur assez terne, ne présente pas de signes très particuliers, sinon des rémiges externes blanches et bien visibles à l'envol. La coloration du dos est chamois fauve finement rayé. Le dessous est plus clair, d'un beige à chamois clair fortement rayé de marron foncé. Les pattes sont de couleur chair et l'ongle postérieur est court.
Détermination :
Moyennement difficile.
Espèces proches :
Il y a de réels risques de confusion du Pipit des arbres avec les autres pipits présents en France. Il ressemble surtout au Pipit farlouse Anthus pratensis de même taille, mais son corps est légèrement plus rond et son bec plus épais. Ses pattes sont plus roses et son plumage plus vif.
Période d'observation :
Avril à septembre-octobre.
Biologie-éthologie :
Le régime alimentaire du Pipit des arbres est constitué principalement d'insectes, mais il consomme également des éléments végétaux en migration et en hiver, notamment des baies et diverses graines.
Biogéographie et écologie :
L'aire de répartition du Pipit des arbres couvre l'essentiel de l'Europe, le nord de la Turquie et la Sibérie. Bien que nécessitant des arbres lui servant de perchoirs, le Pipit des arbres est plutôt un oiseau nicheur des milieux ouverts, à végétation herbacée abondante. Il est particulièrement courant en lisières de forêts, dans les clairières et les landes parsemées d'arbres isolés ou en bouquets. Il est aussi présent dans le bocage et dans les coupes forestières.
Compilé par J. Comolet-Tirman à partir des Cahiers d’habitats.(UMS 2006 Patrimoine Naturel (AFB / CNRS / MNHN)),2017
continental
Métropole
Outre-mer
marin
Métropole
Outre-mer
La carte présente une synthèse à la maille 10 x 10 km des données d’observation de l’espèce transmises au SINP. Ces données ont été soumises à des filtres de validation.
La carte présente une couche de répartition de référence de l’espèce à l’échelle des départements et des secteurs marins. Les données de présence et d’absence ont été établies par expertise au sein d’un réseau de partenaires. Cette répartition de référence est utilisée dans le processus de validation des données du SINP au niveau de l’INPN.
Correspond à un signalement sur la base d'au moins une observation avérée dans une période de 10 ans (20 ans pour les invertébrés peu connus) précédant l'année de référence et aucune présomption de disparition depuis l'obtention de la dernière donnée ni doute sur le caractère reproducteur et implanté de cette population. Pour les espèces migratrices, la pr&easence indiqu&eae concerne les zones de reproduction.
Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce point recouvre l'absence, par nature plus difficile à démontrer que la présence. Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce statut doit également être attribué à un département dans lequel la présence de l'espèce est occasionnelle.
Cas particulier d'absence liée à une disparition avérée depuis moins d'un demi-siècle (les disparitions anciennes sont traitées comme « absence probable ou certaine »).
Dans l'état des connaissances, on ne peut pas se prononcer sur la présence ou l'absence actuelle dans le département. Il s'agit du statut utilisé par défaut quand on ne se situe pas dans une des catégories précédente ou dès lors qu'il y a un doute.
La carte présente la répartition mondiale de l’espèce à partir des données du GBIF (Global Biodiversity Information Facility - Système mondial d'information sur la biodiversité).