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Auteur : J. LAIGNEL |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Julien Laignel
Chargé de mission SNB - SPN/MNHN
4, avenue du Petit Château
91800 BRUNOY
Tel.: 06.10.68.23.36
Mail: julien.laignel@9online.fr
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Auteur : S. Wroza |
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Auteur : S. Wroza |
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Auteur : S. Wroza |
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Auteur : C. Thierry |
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Chloé Thierry
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4, avenue du Petit Château
91800 Brunoy
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Auteur : S. Wroza |
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Taille/poids :
Longueur totale : 13,5 à 15,5 cm. Poids : 19 à 24 g.
Diagnose :
Le mâle adulte a un plumage très contrasté, les ailes sont entièrement noires, la calotte, le manteau, et le haut de la poitrine ocre roux, le ventre et le bas-ventre blancs. Le croupion est blanc prolongé par la queue blanche, marquée d'un motif noir en forme de « T » inversé. Il existe deux formes bien distinctes chez les mâles, l'une à gorge blanche et masque noir autour des yeux (« oreillard »), l'autre à gorge noire jusqu'aux yeux (« stapazin »). Les femelles des deux formes sont très similaires et de couleurs beaucoup plus ternes.
Détermination :
Simple. Facile sur photo.
Espèces proches :
La confusion est possible avec le Traquet motteux (Oenanthe oenanthe). Chez ce dernier cependant, les mâles ont le noir des ailes moins profond et moins étendu, le dos, la nuque et la calotte gris et non ocre. Un des meilleurs critères est le noir du bout de la queue, régulier chez le Traquet motteux, remontant partiellement sur les rectrices externes chez le Traquet oreillard.
Période d'observation :
Avril à septembre.
Biologie-éthologie :
Le régime est avant tout composé d'insectes mais peut être complété de quelques baies en fin de séjour estival. La technique de chasse du Traquet oreillard consiste à se poster en affût sur un point haut et à capturer furtivement la proie au sol ou en vol.
Biogéographie et écologie :
Répartie en période de reproduction à l'est jusqu'au sud du Caucase et du golfe Persique, l'espèce suit une distribution méditerranéenne en Europe et en Afrique du Nord mais n'occupe pas les grandes îles de la Méditerranée occidentale, à l'exception de la Sicile. Le Traquet oreillard habite généralement les garrigues et des maquis bas et ouverts mais aussi parfois des zones situées en bordures de cultures extensives, de friches ou de vignobles.
Compilé par J. Comolet-Tirman à partir des Cahiers d’habitats.(UMS 2006 Patrimoine Naturel (AFB / CNRS / MNHN)),2017
continental
Métropole
Outre-mer
marin
Métropole
Outre-mer
La carte présente une synthèse à la maille 10 x 10 km des données d’observation de l’espèce transmises au SINP. Ces données ont été soumises à des filtres de validation.
La carte présente une couche de répartition de référence de l’espèce à l’échelle des départements et des secteurs marins. Les données de présence et d’absence ont été établies par expertise au sein d’un réseau de partenaires. Cette répartition de référence est utilisée dans le processus de validation des données du SINP au niveau de l’INPN.
Correspond à un signalement sur la base d'au moins une observation avérée dans une période de 10 ans (20 ans pour les invertébrés peu connus) précédant l'année de référence et aucune présomption de disparition depuis l'obtention de la dernière donnée ni doute sur le caractère reproducteur et implanté de cette population. Pour les espèces migratrices, la pr&easence indiqu&eae concerne les zones de reproduction.
Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce point recouvre l'absence, par nature plus difficile à démontrer que la présence. Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce statut doit également être attribué à un département dans lequel la présence de l'espèce est occasionnelle.
Cas particulier d'absence liée à une disparition avérée depuis moins d'un demi-siècle (les disparitions anciennes sont traitées comme « absence probable ou certaine »).
Dans l'état des connaissances, on ne peut pas se prononcer sur la présence ou l'absence actuelle dans le département. Il s'agit du statut utilisé par défaut quand on ne se situe pas dans une des catégories précédente ou dès lors qu'il y a un doute.
La carte présente la répartition mondiale de l’espèce à partir des données du GBIF (Global Biodiversity Information Facility - Système mondial d'information sur la biodiversité).