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Auteur : J.P. Siblet |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Jean-Philippe Siblet - Directeur
Muséum national d'Histoire naturelle - Service du Patrimoine Naturel
36 rue Geoffroy Saint-Hilaire
CP 41
75 231 PARIS CEDEX 05
e-mail : siblet@mnhn.fr
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Auteur : S. Wroza |
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Taille/poids :
Longueur totale : 13 à 14 cm. Poids : 10 à 21 g.
Diagnose :
Il s'agit d'un oiseau de taille modeste à l'apparence générale voisine de celle des rousserolles, avec une silhouette élancée et une tête pointue au front fuyant. La teinte générale est verdâtre pour le dessus et jaune pour le dessous. On peut de plus observer un sourcil jaune assez bref, un panneau alaire pâle et la couleur gris plomb des pattes. Le chant est extrêmement riche et diversifié, et représente l'un des meilleurs moyens d'identifier l'espèce sur le terrain.
Détermination :
Délicate.
Espèces proches :
L'identification est délicate dans la mesure où la plupart des observations sur le terrain sont furtives et où cette espèce ressemble énormément à l'Hypolaïs polyglotte Hippolais polyglotta, à tel point qu'on les qualifie couramment d'espèces jumelles.
Période d'observation :
Mai à septembre.
Biologie-éthologie :
L'Hypolaïs ictérine chasse dans le feuillage ou même dans les herbes hautes en glanant les insectes sur la végétation, mais elle peut aussi effectuer des captures en vol à la manière des gobemouches.
Biogéographie et écologie :
La distribution est paléarctique, plutôt nordique en saison de reproduction. La limite sud-ouest va du nord de la France jusqu'en Macédoine ; à l'est elle passe en Sibérie centrale. L'Hypolaïs ictérine effectue une longue migration jusqu'à ses quarties d'hiver situés en Afrique, majoritairement au sud de l'équateur. Elle se reproduit dans les milieux buissonnants et arbustifs offrant un couvert discontinu.
Compilé par J. Comolet-Tirman à partir des Cahiers d’habitats.(UMS 2006 Patrimoine Naturel (AFB / CNRS / MNHN)),2017
continental
Métropole
Outre-mer
marin
Métropole
Outre-mer
La carte présente une synthèse à la maille 10 x 10 km des données d’observation de l’espèce transmises au SINP. Ces données ont été soumises à des filtres de validation.
La carte présente une couche de répartition de référence de l’espèce à l’échelle des départements et des secteurs marins. Les données de présence et d’absence ont été établies par expertise au sein d’un réseau de partenaires. Cette répartition de référence est utilisée dans le processus de validation des données du SINP au niveau de l’INPN.
Correspond à un signalement sur la base d'au moins une observation avérée dans une période de 10 ans (20 ans pour les invertébrés peu connus) précédant l'année de référence et aucune présomption de disparition depuis l'obtention de la dernière donnée ni doute sur le caractère reproducteur et implanté de cette population. Pour les espèces migratrices, la pr&easence indiqu&eae concerne les zones de reproduction.
Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce point recouvre l'absence, par nature plus difficile à démontrer que la présence. Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce statut doit également être attribué à un département dans lequel la présence de l'espèce est occasionnelle.
Cas particulier d'absence liée à une disparition avérée depuis moins d'un demi-siècle (les disparitions anciennes sont traitées comme « absence probable ou certaine »).
Dans l'état des connaissances, on ne peut pas se prononcer sur la présence ou l'absence actuelle dans le département. Il s'agit du statut utilisé par défaut quand on ne se situe pas dans une des catégories précédente ou dès lors qu'il y a un doute.
La carte présente la répartition mondiale de l’espèce à partir des données du GBIF (Global Biodiversity Information Facility - Système mondial d'information sur la biodiversité).