cd_nom
Auteur : J.P. Siblet |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Jean-Philippe SIBLET
Muséum national d'Histoire naturelle - Service du Patrimoine Naturel
36 rue Geoffroy Saint-Hilaire
CP 41
75 231 PARIS CEDEX 05
e-mail : inpn@mnhn.fr
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Auteur : F. Jiguet |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Frédéric Jiguet
CRBPO
email : inpn@mnhn.fr
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Auteur : S. Wroza |
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Auteur : E. SANSAULT - ANEPE Caudalis |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Eric Sansault
ANEPE Caudalis
email : inpn@mnhn.fr
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Auteur : J.P. Siblet |
Pour se procurer la photo originale ou demander une autorisation d'utilisation, consulter :
Jean-Philippe SIBLET
Muséum national d'Histoire naturelle - Service du Patrimoine Naturel
36 rue Geoffroy Saint-Hilaire
CP 41
75 231 PARIS CEDEX 05
e-mail : inpn@mnhn.fr
Malgré la licence Creative Commons, n'hésitez pas à informer l'auteur de l'utilisation qui sera faite de sa photo
Taille/poids :
Longueur 18 cm, envergure 37 cm, poids moyen 80 g.
Diagnose :
Le plumage des adultes est noir irisé, finement tacheté. Celui des jeunes est grisâtre. Bec pointu (jaune chez l'adulte au printemps). En Corse vit une autre espèce, l'Étourneau unicolore, dont le plumage n'est pas tacheté.
Détermination :
Le chant n'est pas très sonore ni très mélodieux, en revanche il est fort varié, associant des notes sifflées, des grincements et des claquements. De plus, l'Étourneau sansonnet est un très bon imitateur, le sifflement du Loriot étant souvent une de ses spécialités.
Biologie-éthologie :
Peu exigeant en matière d'habitat, l'Étourneau sansonnet vit aussi bien en ville qu'à la campagne ou en forêt. Il apprécie la proximité de zones dégagées pour l'alimentation et, en période de nidification, la présence de cavités.
Largement omnivore, il se nourrit de larves d'insectes (diptères, coléoptères, etc.) et de toutes sortes d'invertébrés qu'il trouve dans les champs et les prairies, ainsi que de fruits, baies et graines. A l'occasion il capture des insectes en vol.
La notion de territoire est toute relative chez cette espèce sociable, mais le site choisi pour la nidification fait néanmoins l'objet d'une défense vigoureuse par le couple. Le nid est une cavité d'arbre, de mur ou de rocher dans lequel sont pondus 5-6 œufs bleu pâle.
Souvent sédentaires ou n'effectuant que des déplacements limités, nos étourneaux sont rejoints durant la période hivernale par des troupes de migrateurs issus des populations plus nordiques et orientales. Dispersés sur de vastes surfaces où ils recherchent leur nourriture durant la journée, ces oiseaux se regroupent à la tombée de la nuit pour regagner leurs dortoirs. C'est alors qu'il est possible d'observer d'immenses vols qui changent constamment de forme dans le ciel, en raison de la rapidité et de l'extrême coordination du mouvement des individus. Les effectifs en dortoir peuvent atteindre dans certains cas plusieurs centaines de milliers d'oiseaux.
J. Comolet-Tirman(UMS 2006 Patrimoine Naturel (AFB / CNRS / MNHN)),2016
continental
Métropole
Outre-mer
marin
Métropole
Outre-mer
La carte présente une synthèse à la maille 10 x 10 km des données d’observation de l’espèce transmises au SINP. Ces données ont été soumises à des filtres de validation.
La carte présente une couche de répartition de référence de l’espèce à l’échelle des départements et des secteurs marins. Les données de présence et d’absence ont été établies par expertise au sein d’un réseau de partenaires. Cette répartition de référence est utilisée dans le processus de validation des données du SINP au niveau de l’INPN.
Correspond à un signalement sur la base d'au moins une observation avérée dans une période de 10 ans (20 ans pour les invertébrés peu connus) précédant l'année de référence et aucune présomption de disparition depuis l'obtention de la dernière donnée ni doute sur le caractère reproducteur et implanté de cette population. Pour les espèces migratrices, la pr&easence indiqu&eae concerne les zones de reproduction.
Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce point recouvre l'absence, par nature plus difficile à démontrer que la présence. Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce statut doit également être attribué à un département dans lequel la présence de l'espèce est occasionnelle.
Cas particulier d'absence liée à une disparition avérée depuis moins d'un demi-siècle (les disparitions anciennes sont traitées comme « absence probable ou certaine »).
Dans l'état des connaissances, on ne peut pas se prononcer sur la présence ou l'absence actuelle dans le département. Il s'agit du statut utilisé par défaut quand on ne se situe pas dans une des catégories précédente ou dès lors qu'il y a un doute.
La carte présente la répartition mondiale de l’espèce à partir des données du GBIF (Global Biodiversity Information Facility - Système mondial d'information sur la biodiversité).