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Auteur : Simonas |
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Auteur : Pierre-Yves Le Bail |
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Auteur : Massimo Cristiano |
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Taille/poids :
Longueur totale : 23 à 28 cm. Poids : 90 à 160 g.
Diagnose :
Le Râle d'eau est un petit rallidé assez haut sur pattes avec le corps élancé, prolongé d'une queue courte en pointe toujours relevée. L'oiseau se distingue par son bec long, légèrement arqué de couleur rouge. Observé de loin, le plumage paraît sombre, excepté le blanc nuancé de beige des sous-caudales. De plus près, on remarque les flancs nettement barrés de noir et de blanc. Le dessus est brun olive finement rayé de noir. Les pattes sont de couleur rose chair à brun rougeâtre et l'iris rouge à orangé.
Détermination :
Moyennement difficile.
Espèces proches :
Difficile à observer dans de bonnes conditions, en raison de ses mœurs discrètes, le Râle d'eau peut être confondu à une certaine distance avec les trois espèces de marouettes fréquentant l'hexagone. Cependant, le râle s'en distingue principalement par son long bec rouge. Les cris sont aussi différents.
Période d'observation :
Toute l'année.
Biologie-éthologie :
Le régime alimentaire comprend des insectes et leurs larves, ainsi que des petits mollusques, des vers, des crustacés et des araignées. Le menu est complété par des végétaux et parfois par de petits vertébrés (amphibiens, poissons).
Biogéographie et écologie :
Le Râle d'eau est largement réparti à travers l'Eurasie. Il occupe les marais et bordures d'étangs. Évitant les eaux trop profondes, il marque une prédilection pour les roselières comportant des petites plages de vase humide.
Compilé par J. Comolet-Tirman à partir des Cahiers d’habitats.(UMS 2006 Patrimoine Naturel (AFB / CNRS / MNHN)),2017
continental
Métropole
Outre-mer
marin
Métropole
Outre-mer
La carte présente une synthèse à la maille 10 x 10 km des données d’observation de l’espèce transmises au SINP. Ces données ont été soumises à des filtres de validation.
La carte présente une couche de répartition de référence de l’espèce à l’échelle des départements et des secteurs marins. Les données de présence et d’absence ont été établies par expertise au sein d’un réseau de partenaires. Cette répartition de référence est utilisée dans le processus de validation des données du SINP au niveau de l’INPN.
Correspond à un signalement sur la base d'au moins une observation avérée dans une période de 10 ans (20 ans pour les invertébrés peu connus) précédant l'année de référence et aucune présomption de disparition depuis l'obtention de la dernière donnée ni doute sur le caractère reproducteur et implanté de cette population. Pour les espèces migratrices, la pr&easence indiqu&eae concerne les zones de reproduction.
Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce point recouvre l'absence, par nature plus difficile à démontrer que la présence. Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce statut doit également être attribué à un département dans lequel la présence de l'espèce est occasionnelle.
Cas particulier d'absence liée à une disparition avérée depuis moins d'un demi-siècle (les disparitions anciennes sont traitées comme « absence probable ou certaine »).
Dans l'état des connaissances, on ne peut pas se prononcer sur la présence ou l'absence actuelle dans le département. Il s'agit du statut utilisé par défaut quand on ne se situe pas dans une des catégories précédente ou dès lors qu'il y a un doute.
La carte présente la répartition mondiale de l’espèce à partir des données du GBIF (Global Biodiversity Information Facility - Système mondial d'information sur la biodiversité).