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Auteur : S. Wroza |
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Auteur : F. Jiguet |
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Frédéric Jiguet
CRBPO
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Auteur : J. Piolain LPR Corse - MNHN, CdC, OFB |
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Auteur : S. Wroza |
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Taille/poids :
Longueur totale : 15,5 à 18 cm. Poids : 25 à 30 g.
Diagnose :
Pipit de grande taille au port altier, haut sur pattes. La coloration générale des parties supérieures est chamois fauve uni. Les parties inférieures sont crème, avec quelques fines stries éparses sur les côtés de la poitrine. Le sourcil est large et blanc. Cet oiseau court rapidement entre les touffes de végétation, s'arrêtant subitement, dressé, pour examiner les alentours.
Détermination :
Moyennement difficile.
Espèces proches :
En vol, il ressemble un peu à une bergeronnette (Motacilla sp.) du fait de sa longue queue. Par ailleurs des confusions sont possibles avec Le Pipit de Richard Anthus richardi, espèce rare mais régulière en France.
Période d'observation :
Avril à septembre.
Biologie-éthologie :
Le régime alimentaire du Pipit rousseline est constitué principalement d'insectes qu'il capture à la suite d'une course brève, un peu à la manière d'un gravelot (Charadrius sp.).
Biogéographie et écologie :
Le Pipit rousseline niche au travers de l'Europe moyenne et tempérée, du Portugal à la Russie européenne. Au nord, il atteint le Danemark et l'extrême sud de la Suède. Sa limite méridionale est l'Afrique du Nord et la Jordanie. A l'est, il est répandu jusqu'au sud de la Mongolie et le nord-ouest de la Chine. Il s'agit d'un oiseau typique de milieu ouvert, à végétation rase. Il se plaît dans les milieux semi-arides, fréquemment sablonneux ou rocailleux : pelouses calcaires, dunes littorales, landes rases. Dans ses quartiers d'hiver africains, le Pipit rousseline se rencontre dans la savane.
Compilé par J. Comolet-Tirman à partir des Cahiers d’habitats.(UMS 2006 Patrimoine Naturel (AFB / CNRS / MNHN)),2017
continental
Métropole
Outre-mer
marin
Métropole
Outre-mer
La carte présente une synthèse à la maille 10 x 10 km des données d’observation de l’espèce transmises au SINP. Ces données ont été soumises à des filtres de validation.
La carte présente une couche de répartition de référence de l’espèce à l’échelle des départements et des secteurs marins. Les données de présence et d’absence ont été établies par expertise au sein d’un réseau de partenaires. Cette répartition de référence est utilisée dans le processus de validation des données du SINP au niveau de l’INPN.
Correspond à un signalement sur la base d'au moins une observation avérée dans une période de 10 ans (20 ans pour les invertébrés peu connus) précédant l'année de référence et aucune présomption de disparition depuis l'obtention de la dernière donnée ni doute sur le caractère reproducteur et implanté de cette population. Pour les espèces migratrices, la pr&easence indiqu&eae concerne les zones de reproduction.
Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce point recouvre l'absence, par nature plus difficile à démontrer que la présence. Ce statut se base sur un ou plusieurs des critères suivants :
Ce statut doit également être attribué à un département dans lequel la présence de l'espèce est occasionnelle.
Cas particulier d'absence liée à une disparition avérée depuis moins d'un demi-siècle (les disparitions anciennes sont traitées comme « absence probable ou certaine »).
Dans l'état des connaissances, on ne peut pas se prononcer sur la présence ou l'absence actuelle dans le département. Il s'agit du statut utilisé par défaut quand on ne se situe pas dans une des catégories précédente ou dès lors qu'il y a un doute.
La carte présente la répartition mondiale de l’espèce à partir des données du GBIF (Global Biodiversity Information Facility - Système mondial d'information sur la biodiversité).