Description
La Communauté d’Agglomération de La Rochelle (CDA) a engagé par délibération du 31 mars 2011 un projet d’éco-quartier à vocation d’habitat sur le site de Bongraine à Aytré. Le terrain est constitué d’une friche ferroviaire de 35 hectares environ maîtrisée dans sa quasi-totalité par la CDA depuis 1995. Dans cette perspective, le programme global prévisionnel des constructions et équipements à édifier prévoit la réalisation : D’environ 800 logements composés : - D’habitat intermédiaire et de collectifs pour 70 à 75% de la programmation, - De terrains à bâtir et/ou de maisons individuelles groupées, en particulier sur la partie sud du secteur, située en espace proche du rivage, - De logements spécifiques : 2 à 3 unités de 2 logements pour la édentarisation des gens du voyage, environ 15 logements supplémentaires pour les personnes en situation de handicap, une unité de logements sous la forme d’habitat participatif. D’une extension du pôle commercial existant dans la limite de 1 000 m² environ de surface de plancher D’équipements publics de superstructure : une maison de la petite enfance, un équipement de quartier structurant de type Tiers-Lieu, une ou des extension(s) d’école(s) à proximité du projet, en lien avec les besoins générés par l’opération. D’équipements publics d’infrastructure : requalification de la rue de Bongraine, aménagements de sécurité sur l’avenue Salengro D’un parc urbain, sur une surface d’environ 10 hectares Cette programmation répond aux enjeux et objectifs du projet et vient conforter l’intérêt général de l’opération. Etude d’impact: Le projet d’éco-quartier de Bongraine a fait l’objet d’une étude d’impact permettant d’apprécier les effets sur l’environnement, notamment le milieu physique, le milieu naturel, l’urbanisation et le cadre de vie, ainsi que les déplacements et les trafics induits. Le parti d’aménagement retenu, bâti à partir de l’ensemble de ces données, apporte des réponses permettant de limiter les impacts sur l’environnement, en les évitant, en les réduisant ou en les compensant. Les impacts résiduels relatifs aux espèces protégées en particulier font l’objet de mesures spécifiques dans le cadre d’un plan de gestion, que la CDA va mettre en œuvre et suivre sur une période de 30 ans.
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