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Site de la directive "Habitats, faune, flore"
Base de référence : Juillet 2024.
Mise à jour annuelle de la liste SIC - publication au JO UE : 02/02/2024 (à partir de la base : décembre 2022)
Type : B (pSIC/SIC/ZSC)
Code du site : FR7200672
Compilation : 30/11/1995
Mise à jour : 10/03/2015
Appelation du site : Coteaux calcaires du Causse de Daglan et de la Vallée du Céou
Dates de désignation / classement :
| Classes d'habitats | Couverture |
|---|---|
| Forêts caducifoliées | 39% |
| Landes, Broussailles, Recrus, Maquis et Garrigues, Phrygana | 27% |
| Pelouses sèches, Steppes | 22% |
| Forêts de résineux | 4% |
| Prairies semi-naturelles humides, Prairies mésophiles améliorées | 2% |
| Forêts sempervirentes non résineuses | 1% |
| Autres terres (incluant les Zones urbanisées et industrielles, Routes, Décharges, Mines) | 0% |
| Zones de plantations d'arbres (incluant les Vergers, Vignes, Dehesas) | 0% |
| Autres terres arables | 0% |
| Prairies ameliorées | 0% |
| Rochers intérieurs, Eboulis rocheux, Dunes intérieures, Neige ou glace permanente | 0% |
Coteaux calcaires sub-méditerranéens et sub-montagnards selon les expositions. Site éclaté en 7 entités distinctes essentiellement boisées sur lesquels subsistent plusieurs secteurs de pelouses sèches et faciès d'embuissonnement. Régression progressive des habitats ouverts/semi-ouverts, consécutif à l'absence d'entretien/activité sur ces milieux.
Le site Natura 2000 "Coteaux calcaires du causse de Daglan et de la vallée du Céou" a été proposé comme Site d'Importance Communautaire (pSIC) en raison de la présence de la succession dynamique de la végétation sur coteaux calcaires. Ces milieux en régression présentent une flore et une faune caractéristiques, aux tendances parfois méditerranéennes, qui concourent à faire de ce site Natura 2000 un territoire à forte valeur patrimoniale et paysagère où les enjeux de conservation sont primordiaux.
L’abandon des pratiques agricoles traditionnelles, notamment le pastoralisme, constitue la principale menace pour le site. Les prairies connaissent des dégradations en raison de changement de pratiques (intensification voire plantations de peupliers). Les milieux forestiers sont menacés par des pratiques forestières non appropriées. L’ensemble des habitats subit la pression d’une urbanisation souvent non encadrée par un document d’urbanisme.
