Dans ce secteur, le canyon du Tarn s'est profondement encaissé dans les causses. Au fond de son canyon, le Tarn disparaît sous un chaos de blocs énormes résultant de plusieurs effondrements des escarpements calcaires et dont le dernier important aurait été causé par le tremblement de terre de l'an 580, d'après Saint-Grégoire de Tours. Le flot de la rivière réapparaît 400 m en aval. Deux énormes rochers dominent l'ensemble : le monolithe du Roc-Aiguille, énorme pan de "falaise" long de 80 m immobilisé en position oblique à 200 m au-dessus de l'abîme, et celui de la Roque-Sourde.
13.23 hectares
Bon état général -