ZNIEFF 230009161
LA BASSE VALLÉE DE LA RISLE ET LES VALLÉES CONSÉQUENTES DE PONT-AUDEMER À LA SEINE

(n° régional : 8704)

Commentaires généraux

Cette Znieff englobe la basse vallée de la Risle de l’aval de Pont-Audemer jusqu’à la confluence avec la Seine au niveau du « Blanc Banc » à Saint-Samson de la Roque, ainsi que la vallée de la Corbie, mais à l’exception du lit de la Risle maritime (jusqu’à la départementale D90) et des vasières et filandres littorales associées. Elle comprend donc les versants et le fond de vallée.

Cette Znieff de type II constitue un ensemble écologique cohérent, rassemblant pas moins de quatorze Znieff de type I de tailles variables, regroupées en trois sous-ensembles présentés ici par ordre d'importance décroissance, qui concentrent les éléments floristiques et faunistiques les plus remarquables -rassemblés ici- :

-En vallée de la Risle :

Le Blanc Banc à Saint-Samson de la Roque (n° régional 87040001 ; 338 ha),

La falaise des Grandes Roques à Saint-Samson de la Roque (87040002 ; 33 ha),

Le coteau des Grandes Bruyères à Saint-Samson de la Roque (87040004 ; 69 ha),

Les landes de Conteville (87040005 ; 22.4 ha),

Les prairies et les landes de la Côte au Sang à Foulbec (87040006 ; 8.9 ha),

Les prairies alluviales de la basse Vallée de la Risle (87040007 ; 1177.8 ha),

Le vallon forestier de La Boissaye à Bouquelon (87040008 ; 43.7 ha),

Le Marais de Pont-Audemer (87040013 ; 156 ha)

-En vallée de la Corbie :

Le Bois du Val Jaouen (87040012 ; 15 ha)

Le Bois du Val de la Corbie (87040010 ; 13.8 ha)

La Source du Val Jouen (87040011 ; 0.39 ha)

Le Bois de la Sébirerie (87040009 ; 18.24ha)

-En vallée du ruisseau de la Vilaine :

L’ancienne carrière du Mont Courel à Berville-sur-Seine et Fatouville-Grestain (87040003 ; 9.4 ha),

Les prairies de Saint-Pierre du Val (87040014 ; 15 ha)

Cette Znieff est en étroite connexion écologique d'une part avec la Znieff marine de type II "Baie de Seine orientale" qui inclut la Seine et ses vasières sous influence marine -et notamment la Risle maritime et les vasières et filandres associées de la rive gauche-, et d'autre part avec la Znieff marine de type I "Filandres amont de l’estuaire de Seine".

Avec près de 7000 d’hectares, cette mosaïque de prairies hygrophiles à mésophiles, de bocage, de bois acidophiles et calcicoles, de pelouses sèches, de landes à éricacées et ajoncs, et de milieux estuariens, constitue une entité écologique de premier plan en Haute-Normandie.

Il convient de noter que cette Znieff fait partie intégrante du Parc Naturel Régional des Boucles de la Seine normande, et qu'une part importante (fond de vallée et coteaux de la rive droite) est intégrée dans le dispositif Natura 2000 au titre des Directives :

Oiseaux : ZPS FR2310044 "Estuaire et marais de la Basse Seine".

Habitats : ZSC FR2300122 "Marais Vernier, Risle Maritime".

FLORE

Les versants sont majoritairement occupés par des boisements de feuillus, dont les groupements suivants sont étagés essentiellement en fonction du type de substrat :

-en haut de versant, les sols caillouteux à silex permettent la présence de quelques hêtraies à Houx (associations de l’Illici-Fagetum et du Milio-Fagetum), de chênaies bétulaies acidophiles (associations du Querco-Betuletum albae, Mespilo-Quercetum, Dryopterido dilatatae-Quercetum petraeae entre autre),

-en milieu et bas de versant, les colluvions crayeuses permettent à des hêtraies neutro-calcicoles à Daphné lauréole (association du Daphno laureolae-Fagetum) et à des frênaies-acéraies à Mercuriale (du Mercurialo perennis-Aceretum campestre) de se développer, avec parfois d’importants faciès à Buis (Buxus sempervirens),

-les fonds de vallons humides et ombragés accueillent des frênaies fraîches (Adoxo-Fraxinetum), ainsi que des frênaies à Scolopendre (Phyllitido-Fraxinetum) sur les affleurements crayeux (éboulis, bord de ravines, …).

Plusieurs ensembles de pelouses-ourlets calcicoles et de falaises abruptes subsistent à l’aval de la vallée sur la commune de Saint-Samson de la Roque. Elles sont dominées par les ourlets denses à Brachypode penné (Brachypodium pinnatum), graminée sociale colonisatrice qui envahit les pelouses plus ouvertes à Avénule des prés (Avenula pratensis), Fétuque de Léman (Festuca lemanii) et Seslérie bleuâtre (Sesleria caerulea) -groupements du Seslerio-Mesobromenion-. Les falaises, les corniches et les anciennes carrières permettent le maintien de faciès pionniers ras à Epervière piloselle (Hieracium pilosella), Laîche caryophyllée (Carex caryophyllea), Cirse acaule (Cirsium acaule fo. caulescens), Aspérule à l’esquinancie (Asperula cynanchica), Germandrée petit-chêne (Teucrium chamaedrys), …

Ces formations herbacées sèches sont de plus en plus envahies par les ligneux. De vastes fourrés denses (fruticées) de Cornouillers (Cornus sanguinea), Troènes (Ligustrum vulgare), Viornes lantane (Viburnum lantana), Rosiers des chiens (Rosa canina), Prunelliers (Prunus spinosa), Aubépines (Crataegus monogyna), etc -associations du Ligustro-Prunetum spinosae et/ou du Tamo-Viburnetum lantanae- se développent suite à la cessation du pâturage et des coupes d’entretien. De petites formations à Genévriers (Juniperus communis) sont dispersées.

Le fond de vallée de la Risle est essentiellement occupé par des prairies méso-hygrophiles valorisées par la fauche et/ou le pâturage, développées sur des alluvions récentes argileuses et limoneuses. Elles sont parcourues de nombreux fossés, ponctuées de mares et frangées de systèmes de haies et de saules têtards.

Les prairies de fauche -alliances de l’Arrhenatherion elatioris et surtout du Bromion racemosi avec l’association dominante de l’Hordeo secalini-Lolietum perennis, groupement méso-hygrohile- sont utilisées plus ou moins intensivement, notamment en fonction de leur inondabilité printanière. Les mares et fossés en eau abritent des groupements hydrophytiques remarquables (Lemnion gibbae, Hydrocharition morsus-ranae, Potamion eurosibiricae…).

Dans le secteur du « Blanc Banc » en bord de Seine (inclus dans la Réserve Naturelle Nationale de l'estuaire de Seine), les pâtures sont parsemées de mares à gabions et traversées par de petits affluents de la Risle ou de la Seine. C’est la zone alluviale qui présente le fonctionnement hydraulique le plus naturel de l’estuaire. Elle est alimentée par la nappe alluviale des sables fins et des graves. Du fait de la vétusté de la digue et de la pénétration d’affluents au sein des prairies, les inondations directes par les eaux de la Seine sont assez fréquentes.

L’association prairiale dominante est l’Hordeo secalini-Lolietum perennis, avec surtout des formes de bas-niveaux plus ou moins sub-halophiles. Les autres associations prairiales sont plus localisées comme le Rumici crispi-Alopecuretum geniculati lié aux secteurs les plus humides et surpâturés, ou l’Hordeo secalini-Arrhenatheretum elatioris, prairie fauchée des zones plus sèches de la bordure Sud.

On y rencontre également :

un secteur dunaire d’origine artificielle (remblais sableux issus du creusement du chenal de la Seine) avec des pelouses mésophiles à méso-xérophiles plus ou moins prairiales -groupements du Thymo-Cynosurion et groupement à Fétuque rouge des sables - Festuca rubra subsp. arenaria- et des friches psammophiles à Cynoglosse officinale (Cynoglossum officinale) ;

des replats vaseux soumis aux marées :

-l’un en bordure de la Seine comprenant des scirpaies halophiles à Scirpe maritime (Scirpus maritimus), Glaux maritime (Glaux maritima) et Aster maritime (Aster tripolium);

-l’autre au niveau des affluents de la Risle où se développent des Scirpaies saumâtres à Scirpe triquètre (Scirpus triqueter).

A l’échelle de la Znieff ,les pelouses-ourlets calcicoles à orchidées, les junipéraies, les vasières exondées à marée basse, les formations dunaires, les mégaphorbiaies à Œnanthe safranée, les milieux aquatiques à Characées et à Potamots ainsi que les herbiers flottants, constituent des milieux remarquables, menacés à l’échelle européenne, qui relèvent de la Directive « Habitats » de l’Union Européenne. Il en va de même pour les hêtraies neutro-calcicoles, certaines chênaies-hêtraies acidophiles de l’Illici-Fagion, les frênaies à Scolopendre, et pour les grottes à chiroptères.

Les espèces déterminantes de Znieff (exceptionnelles à assez rares et menacées en Haute-Normandie, en France ou en Europe) sont très nombreuses dans cette vaste zone.

Dans les fossés en eau se trouvent de belles populations des très rares Morène aquatique (Hydrocharis morsus-ranae), Wolffie sans racines (Wolffia arrhiza) et Cornifle submergé (Ceratophyllum submersum) -espèce protégée en Haute Normandie-, ainsi que de rares Spirodèles à plusieurs racines (Spirodela polyrhiza) et Lenticules gibbeuses (Lemna gibba).

Les mares du secteur de Conteville et celles du Blanc-Banc abritent une ou plusieurs population de Baldellie fausse-renoncule (Baldellia ranunculoides subsp. ranunculoides) -espèce protégée en Haute-Normandie-, de Butome en ombelle (Butomus umbellatus), de Samole de Valerand (Samolus valerandi), de Scirpe maritime (Scirpus maritimus), de Plantain d’eau lancéolé (Alisma lanceolatum), de Salicaire à feuilles d’Hyssope (Lythrum hyssopifolia), d’Œnanthe fistuleuse (Oenanthe fistulosa), de Sagittaire flèche d’eau (Sagittaria sagittifolia), de Pesse d’eau (Hippuris vulgaris), de Guimauve officinale (Althaea officinalis), ou encore de Rorippe des marais (Rorippa palustris) qui peut tapisser certaines mares à sec en été.

Plusieurs prairies humides abritent l’exceptionnel Orchis à feuilles lâches (Orchis laxiflora). L’Œnanthe safranée (Oenanthe crocata) est abondante en bordure de la Risle. Une ancienne peupleraie à Foulbec abrite ponctuellement des milieux intéressants comprenant entre autre les très rares Epilobe des marais (Epilobium palustre) et Jonc subnoduleux (Juncus subnodulosus), le rare Jonc bulbeux (J. bulbosus), le Dactylorhize tacheté (Dactylorhiza maculata).

Les orchidées sont bien représentées sur les pelouses et les lisières encore ensoleillées de la rive droite thermophile, avec notamment l’Ophrys frelon (Ophrys fuciflora) et l’Orchis singe (Orchis simia), -rares et protégées en Haute-Normandie-, l’Orchis bouffon (Orchis morio) rare et menacé, le Dactylorhize de Fuchs (Dactylorhiza fuchsii) et l’Orchis militaire (Orchis militaris), assez rares, le Dactylorhize négligé (Dactylorhiza praetermissa), l’Epipactis à larges feuilles (Epipactis helleborine), la Gymnadène moucheron (Gymnadenia conopsea), l’Ophrys abeille (Ophrys apifera).

A l’extrémité du Mont Courel de Berville-sur-Mer / Fatouville-Grestain, le flanc vif d’une ancienne carrière forme une sorte de falaise atteignant plusieurs dizaines de mètres de haut. Des petites pelouses de recolonisation se développent sur certaines corniches crayeuses et au pied du front de taille. On y trouve notamment le très rare Epipactis des marais (Epipactis palustris) -espèce protégée en Haute-Normandie-, et l’Orobanche sanglante (Orobanche gracilis), assez rare. L’Argousier (Hippophae rhamnoides subsp. rhamnoides), très rare dans la région, forme de petits fourrés.

Les landes de Conteville, en bordure du plateau sur les épaisseurs de silex du versant gauche, sont des groupements mésophiles à méso-hygrophiles de l’Ulicion minoris, dominés par les Callunes (Calluna vulgaris) et les Molinies (Molinia caerulea). La Bruyère à quatre angles (Erica tetralix) s’y intercale par taches et l’Ajonc d’Europe (Ulex europaeus) forme des fourrés en périphérie. Tout autour de ces landes s’étendent des bétulaies-chênaies acidophiles pauci-spécifiques du Querco petraeae-Betuletum albae, qui supplantent progressivement les landes. Faute d’entretien et d’utilisation pastorale, ces dernières sont en cours d’envahissement par la Molinie, le Bouleau pubescent (Betula alba), la Fougère aigle (Pteridium aquilinum) qui banalisent le milieu.

Des espèces exceptionnelles à rares y subsistent toutefois : l’exceptionnel Ajonc de Le Gall (Ulex gallii), espèce protégée en Haute-Normandie et strictement atlantique, qui compte ici parmi ses ultimes stations haut-normandes ; le rare Ajonc nain (Ulex minor) ; et la très rare Bruyère à quatre angles (Erica tetralix).

Toutes ces espèces sont fortement menacées en Haute-Normandie et dans le Bassin parisien de façon plus générale.

Quelques espèces remarquables, assez rares en Haute-Normandie, ont aussi été découvertes dans les forêts, notamment les bois de pente : le Muguet (Convallaria majalis), le Polystic à aiguillons (Polystichum aculeatum), l’Orme des montagnes (Ulmus glabra), la Luzule des forêts (Luzula sylvatica), la Laîche pendante (Carex pendula), la Parisette à quatre feuilles (Paris quadrifolia), le Dactylorhize tacheté (Dactylorhiza maculata).

FAUNE

Parmi les oiseaux du fond de vallée de la Risle, on note :

plusieurs nids occupés par la Cigogne blanche (Ciconia ciconia), et des colonies de Vanneau huppé (Vanellus vanellus), rare dans la région et en déclin en France,

des populations assez importantes de Traquet tarier (Saxicola rubetra) et, dans la partie aval, de Bergeronnette flavéole (Motacilla flava flavissima), assez rares dans la région ; la Chevêche d’Athéna (Athene noctua) et le Rougequeue à front blanc (Phoenicurus phoenicurus), qui utilisent les cavités des vieux saules ou frênes taillés en têtards ; le Faucon hobereau (Falco subbuteo) et la Bondrée apivore (Pernis apivorus) ; la Cisticole des joncs (Cisticola juncidis) ; le Phragmite des Joncs (Acrocephalus schoenobaenus) et la Bouscarle de Cetti (Cettia cetti) ; et enfin de nombreux oiseaux d’eau (Anatidés, limicoles, Ardéidés…) et passereaux qui utilisent comme halte migratoire les milieux les plus humides.

Sur les gravières de Pont-Audemer, quelques centaines d’oiseaux d’eau, dont régulièrement une centaine de Fuligules milouin (Aythya ferina) et morillon (A. fuligula) s’arrêtent en migration ou passent une partie de l’hiver. Un dortoir hivernal d’Ardéidés existe également sur les îlots, avec parfois plusieurs dizaines d’Aigrettes garzette (Egretta garzetta) et de Grandes Aigrettes (Egretta alba).

Les bois de versants, notamment les hêtraies, accueillent les loges du Pic noir (Dryocopus martius), espèce inscrite à l’annexe I de la Directive Oiseaux de l’Union Européenne.

L’entomofaune comprend plusieurs espèces remarquables. La richesse odonatologique est élevée, avec la présence de l’Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale), espèce inscrite à l’annexe II de la Directive « Habitats » de l’Union Européenne, qui trouve en vallée de Risle ses principaux sites d’accueil régionaux. Ont été également recensés l’Agrion de Vander Linden (Cercion lindenii), l’Agrion gracieux (Coenagrion pulchellum), le rare Agrion mignon (Coenagrion scitulum), et le très rare Agrion vert (Erythromma viridulum) au niveau de mares à Conteville.

Parmi les Orthoptères, le Conocéphale des roseaux (Conocephalus dorsalis) et le Criquet ensanglanté (Stetophyma grossum), assez rares à rares en Haute-Normandie et dans le Basin Parisien, sont particulièrement bien représentés en fond de vallée ; sur les pelouses des coteaux à Saint-Samson de la Roque se tiennent le Criquet de la Palène (Stenobothrus lineatus), le Phanéroptère commun (Phaneroptera falcata), et la Decticelle chagrinée (Platycleis albopunctata), assez rares ; les Landes à Ericacées de Conteville abritent la rare Decticelle des bruyères (Metrioptera brachyptera).

La batracho-faune comprend notamment dans les mares de fond de vallée d’importantes populations de Rainette verte (Hyla arborea), menacée aux échelles régionale, nationale et européenne. Le Triton crêté (Triturus cristatus), inscrit à l’annexe II de la Directive Habitats, a été recensé dans quelques mares de plateau jouxtant immédiatement les bois de pente de la Znieff vers Saint-Samson de la Roque. Cette espèce utilise très probablement les bois comme terrains de chasse en dehors de sa phase aquatique.

Au plan herpétologique, la rare et discrète Coronelle lisse (Coronella austriaca) fréquente les pelouses et lisières thermo-calcicoles ; la Vipère péliade (Vipera berus) a été notée avec le Lézard vivipare (Lacerta vivipara) au niveau des landes à Ericacées de Conteville.

S’agissant de l’évolution des milieux, le fond de vallée est menacé par la dévalorisation des prairies humides, qui courent le risque d’être transformées en peupleraies, en cultures ou abandonnées. De même, une trop forte intensification agricole peut engendrer une banalisation de la flore et de la faune. Les pelouses des coteaux et les landes à Ericacées et Ajoncs des rebords de plateau à Conteville évoluent très rapidement sous l’effet de l’embroussaillement. Sans coupe des ligneux envahissants et/ou remise d’un pâturage extensif adéquat, ces milieux remarquables disparaîtront inexorablement.

Ainsi, le soutien des pratiques pastorales extensives est indispensable pour maintenir la qualité biologique et paysagère de cette vallée, ainsi que pour pérenniser son intérêt agricole traditionnel. La mise en place notamment de la Directive « Habitats » de l’Union Européenne sur les secteurs les plus remarquables doit permettre, progressivement, de soutenir les pratiques pastorales et sylvicoles compatibles avec le maintien de cette biodiversité de haut niveau.

Commentaires sur la délimitation

Le périmètre de cette Znieff a été adapté suite aux créations de Znieff marines en juin 2015.

La partie subtidale de cette Znieff a été découpée et accolée aux nouvelles Znieff Marines de type 2 "Baie de Seine orientale" (N°NAT : 23M000004) et de type 1 "Filandres amont de l’estuaire de Seine" (N°NAT : 23M000007) afin de respecter la méthodologie du MNHN.