Outre le fait qu'ils constituent des îlots dans des milieux cultivés ouverts, ces deux bois sont intéressants du point de vue de la biodiversité.
On y trouve notamment Coenagrion mercuriale, libellule protégée.
Le Faucon hobereau niche probablement dans le bois du Pouligny.
Celui-ci recèle par ailleurs des petites mares forestières en réseau et des zones de châblis (certainement temporaires), habitats en raréfaction.
Le bois Rounaux est traversé par un ruisselet qui s'assèche en été, offrant un habitat propice à Ophioglossum vulgatum et Orchis laxiflora (parmi d'autres nombreuses espèces d'orchidées).
Ces deux bois sont exploités, ce qui permet d'ouvir des clairières.
La mosaïque de milieux est favorable à un grand nombre d'espèces.
Seuls les bois sont pris en compte, en raison de l'artificialisation des milieux alentours.
Les deux bois sont rassemblés dans la même ZNIEFF en raison de la ressemblance des milieux et de leur proximité.