Cette zone, coincée entre une route et une voie de chemin de fer, est constituée d'une des rares landes tourbeuses du département de la Dordogne.
L'activité humaine y est faible, ce qui évite une artificialisation et une évolution vers la prairie de pâture.
En revanche, l'évolution naturelle qui tend vers un assèchement de la lande et sa colonisation par les ajoncs, peut être accélérée par le réseau d'assainissement routier.
Malgré l'absence d'espèces très rares ou menacées, on observe toutefois des plantes peu fréquentes en Dordogne, telles que la bruyère ciliée, la grassette du Portugal ou le rhynchospore brun.
Landes humides et mésophiles. Les milieux plantés ou artificialisés sont exclus.