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Le site de Grignon permet d’enseigner différents facettes des sciences de la Vie et de la Terre. Cet enseignement peut être prodigué aussi bien aux scolaires qu’aux étudiants de l’université. Les deux notions, immédiatement appréhendables sur le terrain, sont la stratigraphie (la succession des couches) et la paléontologie (la fossilisation et le dépôt des fossiles). Ces concepts sont facilement compris grâce à :
- une coupe stratigraphique bien visible et peu complexe
- une grande abondance de fossile bien préservés.
Indirectement, ces deux approches permettent d’introduire d’autres disciplines telles que la paléogéographie (présence d’une mer, il y a environ 50 Ma), la paléoécologie (étude des relations des organismes avec leur environnement). A ce titre, Grignon et le gisement complémentaire de la Ferme de l’Orme (commune de Beynes) sont actuellement les seuls sites faisant l’objet d’un stage terrain (depuis 2007) en région parisienne dans le cadre des formations « Master 1 de l’UPMC et du MNHN ».
De plus, il contribue aussi à la formation par la recherche dispensée aux étudiants de Master 1 et 2 (Master SEP (UPMC/MNHN) et Master de l’ISTEP (UMPC) à Paris, Master de Dijon (Biogéosciences). Sur les dix dernières années, sept mémoires de master et deux thèses, dont une encore en cours, impliquent le site de Grignon.
\nLe site de Grignon permet d’enseigner différents facettes des sciences de la Vie et de la Terre. Cet enseignement peut être prodigué aussi bien aux scolaires qu’aux étudiants de l’université. Les deux notions, immédiatement appréhendables sur le terrain, sont la stratigraphie (la succession des couches) et la paléontologie (la fossilisation et le dépôt des fossiles). Ces concepts sont facilement compris grâce à :
- une coupe stratigraphique bien visible et peu complexe
- une grande abondance de fossile bien préservés.
Indirectement, ces deux approches permettent d’introduire d’autres disciplines telles que la paléogéographie (présence d’une mer, il y a environ 50 Ma), la paléoécologie (étude des relations des organismes avec leur environnement). tout type de public peut visiter ce site exceptionnel. Un musée a été mis en place par le club des PTT de Grignon, à l’entrée du parc, afin de recevoir le public lors d’événements culturels (journée du Patrimoine…).
\nLe site de Grignon permet d’enseigner différents facettes des sciences de la Vie et de la Terre. Cet enseignement peut être prodigué aussi bien aux scolaires qu’aux étudiants de l’université. Les deux notions, immédiatement appréhendables sur le terrain, sont la stratigraphie (la succession des couches) et la paléontologie (la fossilisation et le dépôt des fossiles). Ces concepts sont facilement compris grâce à :
- une coupe stratigraphique bien visible et peu complexe
- une grande abondance de fossile bien préservés.
Indirectement, ces deux approches permettent d’introduire d’autres disciplines telles que la paléogéographie (présence d’une mer, il y a environ 50 Ma), la paléoécologie (étude des relations des organismes avec leur environnement). Les scolaires pourraient visiter ce site exceptionnel. Un musée a été mis en place par le club des PTT de Grignon, à l’entrée du parc, afin de recevoir le public lors d’événements culturels (journée du Patrimoine…).
\nLe site de Grignon permet d’enseigner différents facettes des sciences de la Vie et de la Terre. Cet enseignement peut être prodigué aussi bien aux scolaires qu’aux étudiants de l’université. Les deux notions, immédiatement appréhendables sur le terrain, sont la stratigraphie (la succession des couches) et la paléontologie (la fossilisation et le dépôt des fossiles). Ces concepts sont facilement compris grâce à :
- une coupe stratigraphique bien visible et peu complexe
- une grande abondance de fossile bien préservés.
Indirectement, ces deux approches permettent d’introduire d’autres disciplines telles que la paléogéographie (présence d’une mer, il y a environ 50 Ma), la paléoécologie (étude des relations des organismes avec leur environnement).
\nLe site de Grignon permet d’enseigner différents facettes des sciences de la Vie et de la Terre. Cet enseignement peut être prodigué aussi bien aux scolaires qu’aux étudiants de l’université. Les deux notions, immédiatement appréhendables sur le terrain, sont la stratigraphie (la succession des couches) et la paléontologie (la fossilisation et le dépôt des fossiles). Ces concepts sont facilement compris grâce à :
- une coupe stratigraphique bien visible et peu complexe
- une grande abondance de fossile bien préservés.
Indirectement, ces deux approches permettent d’introduire d’autres disciplines telles que la paléogéographie (présence d’une mer, il y a environ 50 Ma), la paléoécologie (étude des relations des organismes avec leur environnement).
\nLes recherches en prévision ne sauraient s’appuyer que sur du matériel ancien (provenant des collections) dont la localisation est souvent trop imprécise. Elles nécessitent impérativement de vastes opérations de fouilles pour étudier les relations biodiversité-stratigraphie-sédimentologie-climat. La poursuite de ces investigations scientifiques nécessitent donc de préserver le matériel géologique in situ et son accessibilité.
Par ailleurs, à la suite d’un Programme Plan-Pluri-Formation (allocation financière du MNHN) qui a permis l’aménagement du site, une équipe internationale s’est constituée pour l’étude du site. Ses objectifs établis sur trois ans concernent l’étude des assemblages de macrofaunes et l’enregistrement des modifications climatiques à haute résolution. Elle comprend des chercheurs du MNHN, de l’Université de Paris 6, de Biogéosciences Dijon, l’University of Vienna, du Museo di Storia Naturale di Firenze et du Royal Belgian Institute of natural Science. De plus, un projet financé par l’Agence Nationale de la Recherche impliquant le LSCE Versailles, Biogéosciences Dijon, MNHN, UPMC (LECOB) and GET Toulouse prévoit une étude très poussée du site. Par ailleurs, un projet de recherche réunissant des scientifiques du MNHN, du CNRS et du Synchroton SOLEIL (à Palaiseau) est aussi actuellement conduit. Il vise à découvrir les pigments résiduels des coquilles et implique aussi des prélèvements sur le site.
Le site de Grignon présente un intérêt scientifique majeur de valeur internationale.
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