Les zones non plantées subissent une fermeture croissante du milieu qui est défavorable aux espèces patrimoniales. Les prairies "ouvertes" couvrent des surfaces de plus en plus faibles (évolution constatée de 2005 à 2012). Les fossés ont été curés localement ou à l'inverse sont très fermés. Cela a eu un effet négatif sur les habitats et les espèces observées en 2005.
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